Trump Make America Great Again, again
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Si c’est le cas ce n’était pas la peine de fermer tous ça, la désinformation pulule à vitesse grand V aux États Unis, dans le monde et même chez nous (suffit de faire un tour aux zozos sociaux, lire les conneries que certains débitent ici et là et de voir que ces institutions ne servent pas à grand chose je trouve).
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Quel comique ce Trump
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@patricelg a dit dans Trump Make America Great Again, again :
Moins drôle
Et il persiste
@patricelg C’était gros comme un nez au milieu de la figure…
“Donnez du pouvoir à un imbécile et vous en ferez un tyran.”
Platon -
Le mec est même pas foutu de s’habiller en noir à des obsèques et il s’endort… (Les images et vidéos sont partout). Melania à l’air de tirer la tronche.
“Sleepy Joe” qu’il l’appelait?
Mouhaha
L’arroseur arrosé
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Le pouvoir rend fou et le fou ne rend pas le pouvoir
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@Psyckofox a dit dans Trump Make America Great Again, again :
Le pouvoir rend fou et le fou ne rend pas le pouvoir
@Violence a dit dans Trump Make America Great Again, again :
“Donnez du pouvoir à un imbécile et vous en ferez un tyran.”
Platon -
Vivement la suite
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Amen !
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Une Libé 30/04/25
Ce crétin est un cauchemar… Il n’y a personne dans les instititutions aux U.S. pour tirer sur le frein de secours d’urgence ?
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patricelg PW Addict DDL Rebelle Windowsien Ciné-Séries Club Membrea répondu à Aurel dernière édition par
@Aurel Et ça, depuis l’attentat raté, il se prend pour le tout puissant…
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il n’y a que moi qui trouve cette photo ridicule ? ^^il a dû confondre béret militaire et casquette…
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100 premiers jours de mandat de Donald Trump : “Vous n’avez encore rien vu”
Malgré une nette chute de sa popularité dans les sondages, le président américain s’est targué d’avoir présidé les cents jours les plus réussis de l’Histoire américaine.
Face à une foule de partisans galvanisés , Donald Trump a prononcé un discours dans le Michigan vantant le bilan de ses premiers mois à la Maison-Blanche et promettant un nouvel âge d’or économique.
Dans un contexte de tensions commerciales croissantes, Donald Trump a défendu avec vigueur sa politique protectionniste.
Le président américain a justifié l’instauration récente des taxes douanières comme un moyen nécessaire pour préserver les intérêts économiques américains.
Pointant des progrès en matière de sécurité nationale, Donald Trump a également revendiqué ses mesures d’expulsions d’immigrés en situation irrégulière et a annoncé a vouloir déployer l’armée pour faire face à ce qu’il a qualifié d’invasion massive aux frontières américaines.
Le président américain a accusé les tribunaux de donner du fil à retordre à son administration, après que certains juges ont remis en question la légalité de son recours à la loi de 1798 sur les ennemis étrangers pour expulser des membres présumés de gangs vénézuéliens.
“Nous ne pouvons pas permettre à une poignée de juges communistes et de gauche radicale d’entraver l’application de nos lois et d’assumer les fonctions qui reviennent exclusivement au président des États-Unis”, a déclaré le dirigeant.
“Rien ne m’arrêtera dans ma mission qui consiste à assurer à nouveau la sécurité de l’Amérique”, a-t-il poursuivi.
Donald Trump s’est également vanté de la réduction des agences fédérales opérée par son administration.
“Après une vie de bureaucrates non élus qui volent vos chèques de paie, attaquent vos valeurs et piétinent vos libertés, nous arrêtons leur train de sauce, mettons fin à leur trip de pouvoir et disons à des milliers de bureaucrates corrompus, incompétents et inutiles de l’État profond : “Vous êtes virés !”” a déclaré le président.
Malgré cette satisfaction affichée, de récents sondages révèlent une nette dégradations de sa popularité, avec seulement 40% d’opinions lui étant favorables aux Etats-Unis.
Devant le bâtiment dans lequel Donald Trump donnait son meeting, près d’un millier de ses opposants se sont rassemblés afin d’appeler à sa démission.
“En 100 jours, Donald Trump a réalisé l’impensable : il a amené l’Amérique au bord de l’implosion”, a témoigné Ken Martin, président du Comité national démocrate. “Sur la scène internationale, il a fait de nous une blague. Sur le front intérieur, il nous a affaiblis. Toutes ses promesses sont vides - et le peuple américain le sait.”
Source : euronews.com