Je ne regrette pas du tout de l’avoir fait, bonne période dans la marine avec une solde de 2000 francs/mois à l’époque.
PW Addict
Ils ne quittent jamais vraiment le forum. Toujours en train de rafraîchir la page, de checker les nouveaux posts et de répondre plus vite que leur ombre.
Messages
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@duJambon a dit dans [Topic Unique] Actualités cinéma & séries :
Chapeau l’actrice principale, plus vraie que nature.
Faut dire qu’Adèle Exarchopoulos, je parle de son jeu d’actrice en général, c’est quelque chose.
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J’ai vu ça, les mecs qui te sortent des captures d’écrans de positions sans même penser à réfléchir avant si les utilisateurs n’utiliseraient pas de VPN. Ils se sentent comme des justiciers du web, d’avoir la vérité absolue. Affligeant…

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@Pluton9 d’accord avec toi, mais vu les nombres mentionnés (10 à 50’000 par an) l’effet sera assez limité.
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**Microsoft a confirmé plusieurs bogues dans Windows 11 remontant à juillet 2025. Ces bugs auraient été causés par la mise à jour 24H2 (KB5062553), qui a affecté les composants système reposant sur XAML, un langage de balisage utilisé dans Windows pour les composants d’interface utilisateur. Bien que ces problèmes apparaissent principalement lors de la mise en service d’appareils ou du démarrage d’images non persistantes, affectant principalement les déploiements en entreprise et dans l’éducation, il est inquiétant que Microsoft ait mis autant de temps à reconnaître la situation.
Dans son blog, Microsoft a indiqué « qu’après avoir provisionné un PC avec une mise à jour cumulative mensuelle Windows 11, version 24H2, publiée en juillet 2025 ou après (KB5062553), diverses applications telles que StartMenuExperiencehost, Search, SystemSettings, Taskbar ou Explorer peuvent rencontrer des difficultés ». Il est amusant de constater qu’en juillet dernier, la société affirmait que Windows 11 24H2 était la version Windows la plus fiable jamais conçue.**
Ces dernières semaines ne sont pas de tout repos pour Microsoft. La grande enseigne a corrigé une panne de Microsoft 365 qui rendait les fichiers inutilisables ; ce type de panne semble se produire assez régulièrement.
Du côté de Windows, la situation est probablement pire. Microsoft a été critiqué par Nvidia, car le dernier Patch Tuesday entraîne des problèmes de performances dans les jeux. Le fabricant de GPU a publié un pilote de correction d’urgence pour résoudre ces problèmes.
Cette annonce fait suite à la vive réaction négative à laquelle le responsable Windows de la société a récemment été confronté en raison de l’évolution du système d’exploitation vers un OS agentique, comme cela a été dévoilé en début de semaine.
Tout cet enchainement d’évènements a peut-être contribué à ce que Microsoft reconnaisse publiquement que plusieurs fonctionnalités centrales de Windows 11 sont gravement défaillantes. Cet aveu rare met en lumière un ensemble de dysfonctionnements profonds touchant le cœur même de l’OS : le Shell, l’interface, les modules XAML et divers processus qui structurent l’expérience utilisateur. Pour les professionnels de l’informatique, cette situation soulève des inquiétudes majeures quant à la stabilité du système, à la gestion de parc et à la stratégie de mise à jour.
Selon les détails rendus publics par l’éditeur, différents correctifs déployés ces derniers mois entraînent des plantages ou des comportements anormaux. Les symptômes sont variés : un menu Démarrer qui refuse de s’ouvrir, un explorateur de fichiers instable, la barre des tâches qui cesse de répondre, les Paramètres système qui ne s’affichent plus, des erreurs d’initialisation de ShellHost ou de StartMenuExperienceHost, voire des crashs répétés d’Explorer.exe.
Dans certains scénarios, l’interface se retrouve dans un état inutilisable dès la première connexion de l’utilisateur. Les environnements non persistants — par exemple les solutions VDI utilisées en entreprise — sont particulièrement touchés. Ce pattern suggère que le problème ne se situe pas uniquement dans l’interface, mais bien dans le chemin de provisioning des applications essentielles au cœur de Windows.
Il est intéressant de noter que, bien que Microsoft ne reconnaisse le problème qu’en novembre 2025, celui-ci existe depuis la mise à jour Patch Tuesday de juillet 2025 (KB5062553), soit depuis quatre mois. De plus, comme Windows 11 25H2 partage la même base de code que la version 24H2, la dernière mise à jour des fonctionnalités de Windows 11 est également concernée.
Dans l’article d’assistance, Microsoft explique :
Envoyé par MicrosoftAprès avoir équipé un PC avec Windows 11, version 24H2, mise à jour cumulative mensuelle publiée en juillet 2025 ou après (KB5062553), diverses applications telles que StartMenuExperiencehost, Search, SystemSettings, Taskbar ou Explorer peuvent rencontrer des difficultés.
Cela se produira dans les cas suivants :
- Première connexion utilisateur après l’application d’une mise à jour cumulative.
- Toutes les connexions utilisateur à une installation OS non persistante telle qu’une infrastructure de bureau virtuel (VDI) ou équivalent, car les packages d’application doivent être installés à chaque connexion dans de tels scénarios.
D’où vient la panne ?
Microsoft explique que la source du problème se situe dans certains composants XAML intégrés aux mises à jour récentes. XAML, qui alimente de larges parties de l’interface moderne de Windows 11, semble échouer au moment où l’OS initialise des vues essentielles pendant la création ou la préparation du profil utilisateur.
Cet échec provoque un effet cascade : si une seule vue XAML critique ne s’affiche pas ou ne se charge pas correctement, c’est tout le Shell de Windows qui peut s’écrouler. Lorsque la barre des tâches, le menu Démarrer ou l’explorateur tombent en panne, l’OS reste techniquement « en vie », mais l’utilisateur n’a plus les moyens d’interagir avec la machine autrement qu’en passant par des outils d’urgence comme PowerShell ou le Gestionnaire des tâches.
Une situation très préoccupante pour les entreprises
Pour les administrateurs systèmes, la reconnaissance officielle de ces dysfonctionnements a plusieurs implications concrètes. La première concerne le déploiement des mises à jour : certaines organisations appliquent encore un processus automatisé ou semi-automatisé, ce qui les expose à des défaillances massives en chaîne. Le risque est particulièrement élevé dans les environnements où les postes sont créés dynamiquement, comme les bureaux virtuels persistants ou non persistants.
La deuxième implication porte sur la productivité. Pour de nombreux utilisateurs, un menu Démarrer en panne ou un explorateur instable ne sont pas de simples désagréments : ce sont des blocages complets du poste de travail, entraînant des heures perdues et des interventions support d’urgence.
Enfin, cette crise de stabilité renforce une question que beaucoup de DSI posent déjà en interne : Windows 11 est-il suffisamment mature pour un déploiement massif ? Certains envisagent désormais de retarder leurs migrations, d’autres de réfléchir à des stratégies hybrides incluant des versions LTSC ou un maintien prolongé de Windows 10.
Les mesures annoncées par Microsoft
Face à l’ampleur du problème, Microsoft a publié des instructions temporaires pour réenregistrer les packages affectés via des scripts PowerShell. Ces scripts permettent parfois de restaurer le Shell ou de relancer les composants XAML défaillants.
Cependant, ces solutions ne constituent pas un correctif. Elles relèvent davantage du contournement, et ne garantissent pas que le problème ne reviendra pas après une nouvelle connexion ou un nouveau déploiement. Aucun calendrier précis n’a été annoncé pour une correction définitive, laissant les équipes IT dans une période d’incertitude.
Microsoft assure néanmoins travailler sur un correctif complet, mais reconnaît que la résolution demandera du temps, vu la nature profonde du dysfonctionnement.
Un problème qui interroge la qualité logicielle
L’incident révèle un malaise plus large. Windows 11 s’est construit sur une stratégie d’évolution rapide, avec un rythme de livraisons soutenu et une intégration croissante des composants modernes, souvent étroitement liés à des frameworks en évolution continue.
Cette cadence, combinée à la montée des fonctionnalités “agentiques” et à la refonte permanente de l’expérience utilisateur, pourrait fragiliser le socle traditionnel de l’OS. Lorsque des modules critiques comme le Shell, la barre des tâches ou StartMenuExperienceHost tombent en panne simultanément, cela indique un problème dans la chaîne de tests, dans l’architecture ou dans la gestion du cycle de vie des composants.
Pour les entreprises, cet épisode relance le débat sur l’équilibre entre innovation rapide et stabilité structurelle. Windows 11 se veut moderne, connecté, intelligent. Mais il doit d’abord être fiable.
La mise à jour Windows 11 25H2 rend les claviers et souris USB inutilisables
Depuis le déploiement du correctif en octobre, de nombreux messages affluent sur les forums officiels de Microsoft et dans les forums spécialisés. Tous décrivent le même scénario : après installation, si Windows rencontre un problème et que l’utilisateur tente d’ouvrir le mode de récupération, aucun périphérique USB n’est reconnu. Le curseur reste immobile, les touches muettes, et le système de secours devient inutilisable.
Envoyé par utilisateurPareil pour moi… Le clavier et la souris ont cessé de fonctionner après la dernière mise à jour (pré-25h2) en mode de récupération. Tout fonctionnait correctement avant la dernière mise à jour. Pensant que cela venait peut-être de mon combo sans fil, j’ai débranché tous les périphériques USB, branché un clavier/une souris filaires, redémarré Windows, appuyé sur SHIFT-RESTART, mais le clavier et la souris ne fonctionnaient toujours pas…
J’ai raté « l’ancienne » touche F8 lors du…
Suite de l’article réservé aux abonnés : developpez.com
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La Fondation Raspberry Pi vient de publier Raspberry Pi Imager 2.0, une mise à jour majeure qui revoit complètement l’outil utilisé pour installer un système d’exploitation sur une carte SD ou un SSD avant de démarrer un Raspberry Pi.
Selon l’équipe, cette version était en développement depuis plus d’un an. Et, ce n’est pas une simple mise à jour : l’interface et le fonctionnement entier du logiciel ont été repensés pour corriger les limites accumulées depuis cinq ans.
Une interface entièrement repensée
Le grand changement visible immédiatement : fini la fenêtre unique et ses menus cachés, place à un assistant clair en 4 étapes :
- Choisir le modèle de Raspberry Pi
- Choisir l’OS à installer
- Sélectionner la carte SD/clé USB/SSD
- Configurer entièrement le système avant le flash

Cette approche rend l’usage plus logique, plus lisible, et beaucoup plus simple pour les débutants comme pour les utilisateurs avancés.
Une configuration système beaucoup plus puissante
L’étape 4 est la plus intéressante. En effet, Raspberry Pi Imager 2.0 propose désormais un panneau dédié pour définir avant écriture :
- Compte utilisateur
- Mot de passe
- Wi-Fi
- Paramètres régionaux (langue, clavier)
- Options d’interface (SSH, etc.)

C’est un énorme plus pour les configurations headless, où le Raspberry Pi démarre sans écran ni clavier. Avec Imager 2.0, le Pi est immédiatement accessible sur le réseau dès le premier boot.
Avant, cela demandait des manipulations complexes. Désormais, c’est intégré, simple et guidé.
Intégration native avec Raspberry Pi Connect
Grande nouveauté : Raspberry Pi Imager 2.0 permet de se connecter directement avec votre compte Raspberry Pi Connect. Résultat, vos identifiants Connect sont automatiquement inscrits dans l’image, votre Pi peut être piloté à distance immédiatement et aucun fichier SSH ou clé à ajouter manuellement
C’est une étape importante pour le remote management des Raspberry Pi.
Accessibilité améliorée
L’interface a été pensée pour être utilisable par tous :
- Contrôles compatibles avec les lecteurs d’écran
- Navigation entièrement possible au clavier
- Nouveau thème Raspberry Red plus contrasté
- Plus d’espace blanc pour améliorer la lisibilité
Une très bonne nouvelle pour les utilisateurs équipés de solutions d’accessibilité.
Finalement : une vraie version 2.0
Raspberry Pi Imager 2.0 clarifie un outil devenu trop chargé, automatise les manipulations complexes, facilite l’usage à distance, et modernise toute l’ergonomie.
C’est de loin la mise à jour la plus importante depuis la sortie de l’Imager original.
Disponible maintenant pour votre prochain flash.
Source : blog-nouvelles-technologies.fr
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@Ern-Dorr non, non, et merci de t’y intéresser, je bricole un peu chez moi, je fais un peu moins de 3D mais c’est que provisoire, je posterais un truc à Noël.
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ça fait longtemps que l’humain utilise l’IA… D’ailleurs, on l’insultait déjà à l’époque…
Typiquement, quand tu jouais en hard à Street Fighter 2 sur la super nes ^^Même si, on est d’accord, c’est pas la même story…
c’est juste des addicts d’un côté et de l’autre, des journaux qui font leur beurre d’en parler. -
@Violence a dit dans Il est désormais possible de localiser les comptes sur X: le réseau social s’embrase :
ça à permis d’identifier plein de faux comptes russes en Afrique
Mais pas que, j’ai appris cela sur X par un post concernant une série de comptes israéliens, mais basés en Turquie et au Quatar.
Même si X a des airs de vaste poubelle, ça reste un bon baromètre du bordel ambiant.

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@Alternity ça devrait pourtant. As tu la dernière version du soft ?
Un peu d'humour en image
[Topic Unique] Actualités cinéma & séries
Il est désormais possible de localiser les comptes sur X: le réseau social s’embrase
On ne se moque pas de ces choses là.
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Aux Etats-Unis, un nouveau phénomène émerge et envahit les tribunaux: les premiers divorces liés à des affaires extraconjugales avec des IA
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