Trump Make America Great Again, again
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@Raccoon Le bonhomme est jovial sitôt qu’on on le flatte : miroir Ô mon bon miroir, suis-je toujours le plus puissant du monde ?

Le reste du temps, il tire sa tronche répulsive de mafieux poker face avec des flêches qui lui sortent de ses yeux en trou de pine.
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pose ce téléphone, Donald !
Depuis son retour à la Maison-Blanche, le président des Etats-Unis bombarde les réseaux sociaux de photos dopées à l’IA pour se mettre en scène ou moquer ses adversaires.
Ces messages, il les poste lui-même, les reposte, ou c’est la Maison-Blanche qui s’en charge. Et les regarder, c’est un voyage dans une autre dimension. Jugez plutôt.
Cette merveille date du 4 juillet dernier, jour de la fête nationale. La Maison-Blanche publie une photo de Trump grimé en jedi bodybuildé, avec des drapeaux étoilés et des aigles. Problème : son sabre est rouge comme ceux… des seigneurs Siths (les méchants).
Cette merveille date du 4 juillet dernier, jour de la fête nationale. La Maison-Blanche publie une photo de Trump grimé en jedi bodybuildé, avec des drapeaux étoilés et des aigles. Problème : son sabre est rouge comme ceux… des seigneurs Siths (les méchants).

Le 6 septembre, Donald Trump se croit dans « Apocalypse Now » et menace Chicago avec son tout nouveau Département de la Guerre. « J’aime l’odeur des déportations le matin… », s’amuse-t-il en parlant des expulsions ultra-violentes de migrants.

Le 3 octobre, Donald Trump parodie le clip « (Don’t Fear) The Reaper » des Blue Öyster Cult. En plein « shutdown », il sonne la cloche tandis que Russ Vought, chargé du Budget, incarne la « Grande faucheuse ».

Deux jours à peine après son investiture le 20 janvier, le ton est donné : le président des Etats-Unis se balade avec un lion tous crocs dehors.

Le 19 février, la Maison-Blanche publie une fausse une du magazine « Time » : Trump porte une couronne et il est écrit « Longue vie au roi ». Une manière très particulière de célébrer le stop mis au péage urbain à New York.

Le 2 mai, à quelques jours du conclave organisé à Rome pour trouver le successeur du pape François, Trump se met en scène déguisé en souverain pontife. C’est bien un Américain qui l’emportera… mais pas lui.

A la rentrée, un compte sur X poste cette vidéo du « Commandant en action », selon sa légende. Tout content de son virage sécuritaire, Donald Trump le reposte.
Le 11 juillet, la Maison-Blanche y va franchement : Donald Trump devient Superman pour défendre la « vérité », la « justice », le tout « à l’américaine ».
Le 11 juillet, la Maison-Blanche y va franchement : Donald Trump devient Superman pour défendre la « vérité », la « justice », le tout « à l’américaine ».

Elle a fait le tour du monde : début février, Donald Trump reposte une vidéo délirante qui imagine la bande de Gaza transformée en Riviera. Le bon goût à l’état pur.
En juillet, empêtré dans l’affaire Epstein, Donald Trump reposte une vidéo IA de la fausse arrestation de Barack Obama. Il dépubliera face au tollé.
En juillet, empêtré dans l’affaire Epstein, Donald Trump reposte une vidéo IA de la fausse arrestation de Barack Obama. Il dépubliera face au tollé.

Nouveau scandale le 30 septembre, quand Donald Trump affuble Hakeem Jeffries, le chef de la minorité démocrate à la Chambre, d’une fausse moustache et d’un sombrero.
Celle-ci aussi a été beaucoup commentée : en octobre, face au mouvement « No Kings », Trump répond avec une vidéo qui dépasse l’entendement : sa couronne sur la tête, il pilote un avion de chasse et largue des tonnes d’excréments sur les manifestants.
Celle-ci aussi a été beaucoup commentée : en octobre, face au mouvement « No Kings », Trump répond avec une vidéo qui dépasse l’entendement : sa couronne sur la tête, il pilote un avion de chasse et largue des tonnes d’excréments sur les manifestants.
Depuis son retour à la Maison-Blanche, le républicain veut avoir la main sur la programmation du Kennedy Center, prestigieuse institution culturelle de Washington. Dès février, il s’y imaginait en chef d’orchestre.
Deux jours après sa rencontre avec Vladimir Poutine en Alaska mi-août, Trump reposte une photo de lui en faiseur de paix. Mais le Nobel ne sera pas pour lui…
Voir aussi
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patricelg PW Addict DDL Rebelle Windowsien Ciné-Séries Club Membrea répondu à duJambon dernière édition par
@duJambon Première et avant-dernière, tu as ajouté deux fois la même description

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@patricelg Désolé pas bien réveillé ce matin.
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@duJambon
Le Mexique du Nord n’a jamais digéré que le Venezuela ait nationalisé le pétrole au détriment des compagnies yankees… -
Psyckofox DDL Geek Rebelle Ciné-Séries Club Gamer PW Addicta répondu à BahBwah dernière édition par
Quel monstre de cinéma ce grand Monsieur, l’un de mes acteurs préférés depuis ma tendre jeunesse.
Sinon pour en revenir au sujet, il avait dit un jour que si l’un de ses enfants était à voter pour Trump (chose qui ne serait jamais passé de la vie mais il le dit quand même
), si l’un de ses enfants était à voter pour Trump, il le déshériterait sur le champ ^^ -
Donald Trump lance un « Silence, petite cochonne ! » à une reporter de Bloomberg
Le président américain a pointé du doigt et insulté une journaliste de Bloomberg lors d’un échange à bord d’Air Force One.

Le président américain Donald Trump s’adresse aux membres de la presse à bord d’Air Force One le 14 novembre 2025, alors qu’il est en vol entre Washington, DC et l’aéroport international de West Palm Beach. ROBERTO SCHMIDT / AFPLe président américain va toujours plus loin dans les outrances. Lorsqu’il ne moque pas les accents des journalistes étrangers ou humilie des dirigeants étrangers, Donald Trump trouve maintenant le temps d’insulter une journaliste. Le grand manitou des « Maga » a ordonné à une journaliste de se taire « Silence, petite cochonne ! » alors qu’il répondait à des questions sur sa relation avec Jeffrey Epstein à bord d’Air Force One, vendredi dernier mais la vidéo n’est apparue qu’en ce début de semaine.
“Quiet. Quiet, Piggy.”
Trump completely loses it at a female reporter who asked about the Epstein files. What a disgusting man.
pic.twitter.com/dhS4IJ1KC6— Republicans against Trump (@RpsAgainstTrump)
Le président américain rentrait à Washington vendredi lorsque Catherine Lucey, une journaliste du média économique Bloomberg, lui a demandé pourquoi il ne voulait pas divulguer les dossiers restants sur Jeffrey Epstein lors d’une habituelle séance de questions-réponses avec la presse.
Agacé le milliardaire a pointé du doigt la journaliste, : « Silence, petite cochonne. ». Il n’a pas fallu longtemps aux détracteurs du président américain pour massivement diffuser la vidéo de cet incident choquant pour une personnalité de cette stature.
Occupy Democrats, une organisation politique de gauche, a déclaré : « C’est le président des États-Unis. C’est ainsi qu’il s’adresse à la presse et aux autres adultes qu’il est censé diriger. L’Amérique peut faire beaucoup mieux ! »
[…]
Article complet : leparisien.fr
Pas trop jaloux @duJambon ?

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@Raccoon Au contraire, je ne fréquente pas les instables, ni les caractériels, je n’aime pas les mauvaises surprises.

Il va se prendre un retour de Karma pas piqué des vers.
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Avec ce petit extrait, j’ai cette impression qu’elle a l’air chiante la madame.
il semble répondre à une question quand elle cause par dessus…
“- Ta gueule pétasse !” pourrait être la version française. -
@Popaul l’affaire J. Epstein le rend un peu nerveux je crois.

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@Raccoon a dit dans Trump Make America Great Again, again :
Donald Trump lance un « Silence, petite cochonne ! » à une reporter de Bloomberg
La traduction exacte est : “calme toi, calme toi petite cochonne” , mais c’est pas mieux !
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♪♫ SLC Salut Les Copain: Un Américain gracié par Trump récidive: il est condamné à 37 ans de prison pour une fraude de 35 millions de dollars
À peine sorti de prison, Eliyahu Weinstein, un Américain de 51 ans, a déjà monté une nouvelle escroquerie. Cet homme d’affaires, dont la peine a été commuée par Donald Trump en 2021, juste avant l’arrivée au pouvoir de Joe Biden, vient d’avoir été reconnu coupable d’un nouveau cas de fraude. Il a été condamné à 37 ans d’incarcération. Les médias américains notent par ailleurs que d’autres personnes graciées par Donald Trump ont commis de nouveaux crimes par la suite.
Retour à la case prison pour Eliyahu Weinstein. Ce vendredi, le juge fédéral Michael Shipp, siégeant à Trenton (New Jersey), a condamné cet homme d’affaires de Lakewood (aussi dans le New Jersey), également connu sous le nom de “Mike Konig”, à 37 ans de prison. Le juge a également ordonné à Weinstein de verser 44.294.803 dollars de dommages et intérêts, exigibles immédiatement, selon les documents judiciaires.
Weinstein avait été reconnu coupable en mars d’avoir participé à une escroquerie ayant coûté 35 millions de dollars à des dizaines d’investisseurs. Selon l’accusation, Weinstein et ses complices ont faussement promis aux investisseurs l’accès à des marchés publics portant sur des fournitures médicales rares, du lait infantile et des trousses de premiers secours, censés être destinés à l’Ukraine en guerre.
Condamné à plusieurs reprisesCet homme d’origine juive, qui a grandi entre les États-Unis et Israël, n’était pas un inconnu du système judiciaire américain. Il avait déjà été condamné à deux reprises : une première fois pour une escroquerie de type Ponzi dans le secteur immobilier, une fraude financière où il avait promis aux investisseurs des profits élevés, mais en les rémunérant grâce à l’argent provenant de nouveaux investisseurs. Il avait alors arnaqué des personnes de sa propre communauté religieuse. Il a ensuite été condamné une seconde fois pour fraude alors qu’il était en liberté provisoire.
Contexte de la grâce présidentielle
- Eliyahu Weinstein, homme d’affaires américain, a été gracié par Donald Trump en 2021, la veille de l’arrivée au pouvoir de Joe Biden.
- Cette décision est intervenue après l’intervention de militants juifs auprès d’Ivanka Trump et le soutien de membres du Congrès.
- Weinstein aurait remercié personnellement la famille Trump après sa libération.
- Nick Muzin, ex-conseiller d’un sénateur républicain, a été payé 75 000 $ pour soutenir sa demande de grâce.
Récidive après sa libération
- Dès sa sortie de prison, Weinstein a replongé dans la fraude.
- Il aurait déclaré avoir menti à ses investisseurs et trouvé cela “drôle”, selon des documents judiciaires cités par le New York Post.
Cas similaires
Plusieurs personnes graciées par Trump à la fin de son mandat ont récidivé :
- Jamie Davidson : gracié, puis à nouveau condamné en 2023 pour des violences contre sa femme.
- Jonathan Braun : gracié, puis arrêté pour agression contre sa femme et son beau-père ; il avait obtenu la commutation de sa peine grâce à ses liens avec Charles Kushner.
Rôle d’Ivanka Trump et Jared Kushner
Selon le New York Times, Donald Trump suivait souvent les recommandations de proches, notamment Jared Kushner et Ivanka Trump, qui ont joué un rôle clé dans plusieurs décisions de grâce en fin de mandat.
Pour ces deux dernières affaires, qui ont entraîné des pertes cumulées d’environ 230 millions de dollars pour les investisseurs, Weinstein a été condamné à 24 ans de prison.
Bénédiction présidentielle
Le 19 janvier 2021, Trump a commué la peine de Weinstein en temps déjà purgé, après moins de huit ans d’incarcération. Il figurait parmi les 143 personnes graciées à cette occasion.
Nick Muzin, ex-conseiller d’un sénateur républicain, a été payé 75 000 $ pour soutenir sa demande de grâce.
Encore une petite grâce, siouplait ?
(quand je pense qu’il a des fanboy ^^)