Le monde est fou (vers l'infini et au delà)
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@Aurel t’es en colère là tout de suite ???
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@Aurel a dit dans Le monde est fou (vers l'infini et au delà) :
Ses bourreaux complices sont également de grands perturbés sados.
Si on dresse pas cette genération d’attardés, ça va devenir la norme.
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@Mister158 a dit dans Le monde est fou (vers l'infini et au delà) :
@Aurel t’es en colère là tout de suite ???
Exposer une opinion serait une manifestation de colère ? Je suis toujours zen. Je suis surpris par ta question…
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@Aurel ben deux coups de kalashnikov en 5 mn lol
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?? Lol aussi, mais bon.
Edit : Ah si, je viens comprendre. Pour toi s’exprimer reviendrait à balancer des tirs d’arme à feu comme dans les jeux vidéos ?
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@michmich a dit dans Le monde est fou (vers l'infini et au delà) :
@Aurel a dit dans Le monde est fou (vers l'infini et au delà) :
Ses bourreaux complices sont également de grands perturbés sados.
Si on dresse pas cette genération d’attardés, ça va devenir la norme.
Excuse-moi, mais j"ai toujours été incompatible avec le verbe “dresser” 'comme un animal de cirque et encore moins les “normes”. D’abord, la discussion rend moins attardé, même si elle prend du temps et beaucoup de patience.
o/
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« J’aimerais tellement revoir tes seins » : un homme tire une flèche portant un message sexuel dans la chambre d’une fillette
Sur le message tiré avec un arc par une fenêtre ouverte, ce trentenaire avait proposé à la fillette de faire connaissance après avoir vu « ses petits seins parfaits ». Il a été condamné à dix mois de prison ferme à Périgueux (Dordogne).
Des faits qui font froid dans le dos. Un homme d’une trentaine d’années a été condamné mardi en comparution immédiate à dix mois de prison ferme à Périgueux (Dordogne) pour « outrage sexiste à mineur de 15 ans », indique ce mercredi au Parisien le parquet de la ville, confirmant une information d’Ici (ex-France Bleu) Périgueux.
D’après le parquet, « cet homme habitait la maison en face de l’immeuble où résidait la victime », une jeune fille âgée de 12 ans. « Il a tiré une flèche par la fenêtre ouverte de la chambre de cette dernière avec un mot accroché l’invitant à faire connaissance après avoir vu : ses petits seins parfaits ». « J’en rêve maintenant. J’ai même fait l’amour à ma copine toute la nuit comme une bête tellement tes seins mon exciter (sic). J’aimerais tellement juste les revoir », était-il également écrit.
« Je vous jure que c’est pas moi »
D’après Ici Périgueux, les faits ont eu lieu le 13 août vers 22 heures, alors que la fillette était dans sa chambre avec ses cousines. Ces derniers ont indiqué aux enquêteurs avoir déjà vu à plusieurs reprises l’homme condamné en bas de leur immeuble. Celui-ci, connu de la justice pour des délits routiers et de la consommation et de la détention de drogue, avait aussi laissé ses initiales sur le mot envoyé, précise la radio locale.
Au cours d’une perquisition chez lui, les enquêteurs retrouvent un arc avec des flèches identiques à celle retrouvée dans la chambre de la fillette. Il a reconnu être le propriétaire de l’arc, mais a nié avoir tiré. « Je vous jure que ce n’est pas moi », a-t-il lancé lors de l’audience. Sauf que, toujours d’après Ici Périgueux, personne n’y a cru : sa mère avait même avoué à la police avoir reconnu son écriture.
Source : leparisien.fr
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Il est patent que cette fillette l’avait bien provoqué.
@Raccoon C’est quoi ce topic racoleur dit “putaclic” ? Je ne connaissais pas cette facette de ta personnalité.
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@michmich a dit dans Le monde est fou (vers l'infini et au delà) :
Si on dresse pas cette genération d’attardés, ça va devenir la norme.
Ce n’est pas une question de génération
Des bourreaux, ça existe depuis la nuit des temps dans toute la planète et toute les classes sociales (ce qui différencie d’aujourd’hui c’est juste Internet). -
Raccoon Admin Seeder I.T Guy Windowsien Apple User Gamer GNU-Linux User Teama répondu à Aurel dernière édition par
@Aurel et encore tu n’as pas tout vu
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La serveuse ne met pas de mayonnaise dans son sandwich, il met le feu au bar
En Andalousie, en Espagne, un client mécontent a mis le feu à un bar après avoir constaté que son sandwich ne contenait pas de mayonnaise. L’auteur, qui s’est lui-même brûlé lors de l’incendie, a été arrêté peu après par la Garde civile.
L’incident s’est produit dimanche soir vers 19h15 au bar Las Postas, situé à Los Palacios y Villafranca. Un homme d’une cinquantaine d’années commande un sandwich “montadito” sur la terrasse du bar et demande de la mayonnaise. Mais la serveuse, embarrassée, lui annonce que le bar ne propose ni ketchup ni mayonnaise. Une brève dispute éclate alors.
Vengeance
La serveuse explique que le bar ne prépare pas ses propres sandwichs, mais se contente de les vendre, sans accompagnement ni sauce. Cette réponse irrite véritablement le client. Il quitte le bar en rage et se rend à une station-service voisine, d’où il est revient avec un bidon d’essence.
De retour au bar, l’homme demande à nouveau de la sauce. Après avoir entendu une nouvelle fois qu’il n’y a ni ketchup ni mayonnaise, il arrose le bar d’essence et met le feu au bâtiment avant de prendre la fuite. D’après les images de vidéosurveillance, les flammes ont immédiatement pris de l’ampleur, causant d’importants dégâts au bar. Les clients présents ont paniqué et se sont précipités dehors pour se mettre à l’abri.
Video et plus: https://www.7sur7.be/insolite/la-serveuse-ne-met-pas-de-mayonnaise-dans-son-sandwich-il-met-le-feu-au-bar~ac6d888c/
Faites attention avant de marcher sur un mégot dans la rue, un clodo fou avec un grand couteau vous regarde peut-être…
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Une fillette débarque à l’hôpital, un couteau planté dans la tête
Une habitante de Kunming (chine) lui faire peur. L’enfant a miraculeusement survécu.
Un chirurgien a pratiqué une craniectomie pour retirer le couteau de la tête de la petite fille, dont l’état est stable. Un médecin a expliqué à la presse locale que la victime devait sa survie miraculeuse à la souplesse de son crâne. «Si la mère de la fillette avait retiré le couteau imprudemment, le risque aurait été énorme», a-t-il estimé. La police a conclu à un accident et confirmé que la mère ne serait pas poursuivie.
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Venise: Des pickpockets portent plainte contre ceux qui les empêchent de voler
Alors qu’un mouvement citoyen veut protéger les touristes contre les pickpockets, ces derniers contre-attaquent en déposant plainte contre leurs poursuivants. Face à ce phénomène, la police et la justice restent impuissantes, notamment à cause de failles juridiques.
Le problème est probablement aussi vieux que Venise elle-même: la cité des Doges grouille de pickpockets, qui s’attaquent aux portefeuilles des 30 millions de touristes qui affluent chaque année dans cette ville classée au patrimoine mondial de l’Unesco.
La foule et les bousculades sont quasi garanties à toute heure, surtout autour des attractions touristiques phares, comme la place Saint-Marc, le pont du Rialto et les vaporetti. Et force est de constater qu’à l’heure actuelle, le problème ne fait qu’empirer.
Les habitants prennent les choses en main
Face à l’inaction des forces de l’ordre, une initiative citoyenne s’est constituée il y a déjà quelque temps pour compliquer la tâche des voleurs. Le groupe, mené par l’élue locale Monica Poli, surnommée «Lady Pickpocket», s’appelle «Cittadini non distratti», qu’on pourrait traduire par «citoyens attentifs».
Très actifs, ses membres filment et photographient les voleurs en flagrant délit, les retiennent jusqu’à l’arrivée de la police et déposent plainte. Ils tapissent aussi la ville d’affiches d’avertissement. L’an dernier, ils avaient même placardé 90 portraits de pickpockets à la gare Santa Lucia, incitant les touristes à s’en méfier. Les photos circulent aussi sur les réseaux sociaux.
Les images d’une dénonciation filmée et postée sur TikTok:
Les voleurs exploitent une faille juridique
Mais l’action plutôt musclée de ces citoyens pourrait bien se retourner contre eux: selon le quotidien italien Corriere della Sera, les pickpockets ont commencé à contre-attaquer en portant plainte pour harcèlement et parce qu’ils ont été retenus illégalement par des membres du groupe. Et il est vrai que ces derniers n’ont, aux yeux de la loi, pas le droit de le faire.
Sans surprise, beaucoup de Vénitiens voient dans ces plaintes l’apogée de l’impudence. «Lady Pickpocket», qui n’a pas encore été visée par une plainte, s’indigne de la situation:
«Si tout ça est vrai, alors c’est de la folie»
Marco Agostini, chef de la police de Venise interviewé par le Corriere della Sera, commente:
«J’ai toujours insisté sur le fait que les citoyens ne doivent pas se substituer à la police. Ils l’ont fait malgré tout, et voilà le résultat.»Lui-même est consterné par cette «grande bulle d’impunité» dans laquelle évoluent les pickpockets dans la ville. Et il pointe du doigt le problème central: en Italie, le vol à la tire n’est pas un délit poursuivi d’office.
Sans plainte de la victime, police et justice sont impuissantes. Or, la majorité des victimes sont des touristes étrangers de passage, rarement enclins à sacrifier une grande partie de leur séjour dans un commissariat. Résultat: les procès sont très rares.
Le fait que le vol à la tire ne soit pas un délit poursuivi d’office n’est pas le seul problème, et peut-être même pas le principal. Les chances pour un voleur de finir en prison sont encore réduites par l’âge des délinquants: nombre d’entre eux n’ont que 12 ou 13 ans, alors que la responsabilité pénale ne commence qu’à 14 ans en Italie.
Comme dans d’autres villes touristiques du pays, des bandes organisées sévissent à Venise. Souvent, ce sont des clans roms et sinti qui envoient leurs enfants voler. Ces «Baby-borseggiatori» (bébés pickpockets) ne peuvent pas être emprisonnés s’ils sont arrêtés. Le chef de la police explique:
«Nous pouvons les placer en foyer, mais ils s’en échappent généralement après quelques heures»
Le nombre exact de vols à la tire reste inconnu, faute de plaintes. Mais certains indices existent, comme le confie Andrea Pasqualetto, policière de la ville, au Corriere della Sera à la mi-juillet:
«Depuis le début de l’année, nous avons retrouvé 1300 porte-monnaies vides»
Les voleurs ne s’intéressent qu’à l’argent liquide et aux cartes bancaires, jetant le reste, souvent dans les canaux, où les objets disparaissent à jamais.
Ainsi, la découverte de 1300 porte-monnaies ne reflète en rien l’ampleur réelle du phénomène. Andrea Pasqualetto raconte:
«Nous avons une collègue dont la seule mission consiste à enregistrer et stocker les porte-monnaies retrouvés»
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@duJambon
On a déjà eu l’occasion de parler de ces pickpocket.
Ces rassemblements de citoyens qui vont “emmerder” ces voleurs existent aussi a Barcelone et t’as une ptite chaîne sympa ou tu peux les voir courrir après en faisant du bruit (sifflet et criant “Voleur”, “pickpocket” et autre schtroumpferie). Ils les filment, poussent, bousculent et autre baffe dans la gueule quand un de ces gamin tente de se la jouer gros bras.
C’est en espagnol mais je vous met la chaîne : BCN Pie de calleIls sont allés dans d’autres villes comme Paris et justement Venise ou ces associations leur ont bien expliqué d’y aller vraiment molo car la loi peu se retourner contre ce qu’ils font.
C’est assez barge parce justement, la loi est “souple” et les roms affluent.Evidement, c’est surtout les filles qui s’occupent de la chourrave.