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    Windows 11 : Microsoft pose les bases de l'IA agentique dans son OS tout en prévenant qu'elle pourrait installer des logiciels malveillants sur votre PC : l'automatisation arrive plus vite que la sécurité
  • Raccoonundefined Raccoon

    Microsoft vit une période étrange : l’entreprise pousse Windows 11 vers un futur où l’IA devient un acteur autonome du système, capable d’exécuter des tâches pour l’utilisateur, d’interagir avec les dossiers, d’automatiser des workflows, de gérer des actions du quotidien. Mais plus Microsoft avance dans cette vision, plus elle semble devoir freiner ses propres ambitions. La dernière alerte publiée par l’entreprise en est la preuve : les nouvelles capacités « agentiques » de Windows 11 pourraient, si elles sont mal utilisées, devenir un vecteur d’installation de malwares. Et l’éditeur le dit sans détour : « n’activez cette fonction que si vous comprenez pleinement les implications en matière de sécurité ».

    Avec cette version de Windows 11, Microsoft introduit un concept radical pour un système d’exploitation grand public. L’IA n’est plus seulement un assistant conversationnel à appeler au besoin, elle obtient un espace de travail propre à elle — un environnement cloisonné, un ensemble de permissions, un compte utilisateur local créé automatiquement par le système.

    Cette IA peut lire, écrire, analyser, réorganiser et exécuter des actions à travers plusieurs dossiers clés du système : Documents, Téléchargements, Bureau, Images, Musique, Vidéos.

    L’objectif de Microsoft est d’arriver à un « agentic OS », un système où l’IA peut prendre en charge des tâches de fond, organiser des fichiers, exécuter des automatisations complexes et devenir une véritable extension de l’utilisateur. C’est une vision qui s’inscrit dans la tendance globale de l’IA ambiante, omniprésente et proactive.

    Mais ce pouvoir, Microsoft en est consciente, impose un niveau de confiance très élevé… peut-être trop élevé pour un système qui sera utilisé par des millions de personnes n’ayant aucune culture cybersécurité.

    L’agent workspace : nouvelle architecture de Windows 11

    Microsoft vient de franchir une étape majeure dans l’évolution de Windows 11 : le système d’exploitation n’est plus seulement un cadre pour vos applications — il devient, ou aspire à devenir, un véritable acteur (« agent ») dans votre environnement informatique. Baptisé « agentic OS », ce concept recouvre une myriade de nouveautés, centrées sur les « agent » IA qui interagiront avec vos fichiers, vos applications et vos tâches, dans une logique de productivité augmentée mais aussi de nouveaux défis en matière de contrôle et de sécurité.

    « Windows s’engage à rendre les expériences d’agent avec les applications plus productives et plus sécurisées pour les particuliers et les entreprises », déclare Microsoft. « Dans le cadre de cette vision, Windows introduit une nouvelle fonctionnalité expérimentale, l’espace de travail de l’agent, disponible dans une préversion privée pour les développeurs Windows Insiders dans une version qui sera bientôt disponible. Cette préversion reflète notre approche progressive pour fournir des capacités d’agent, en commençant par un accès limité afin de recueillir des commentaires et de renforcer la sécurité fondamentale. »

    Une des pierres angulaires de cette vision est la notion « d’agent workspace » (ou espace de travail d’agent). Microsoft explique ce que c’est :

    « Un espace de travail d’agent est un espace distinct et isolé dans Windows où vous pouvez accorder aux agents l’accès à vos applications et fichiers afin qu’ils puissent effectuer des tâches pour vous en arrière-plan pendant que vous continuez à utiliser votre appareil. Chaque agent fonctionne à l’aide de son propre compte, distinct de votre compte utilisateur personnel. Ce compte dédié à l’agent établit des limites claires entre l’activité de l’agent et la vôtre, permettant ainsi une autorisation limitée et une isolation du temps d’exécution. Vous pouvez ainsi déléguer des tâches à des agents tout en conservant un contrôle total, une visibilité sur les actions des agents et la possibilité de gérer les accès à tout moment.

    « Les agents ont généralement accès à des dossiers connus ou à des dossiers partagés spécifiques, ce qui se reflète dans les paramètres de contrôle d’accès du dossier. Chaque agent dispose de son propre espace de travail et de ses propres autorisations : ce à quoi un agent a accès ne s’applique pas automatiquement aux autres. Ces espaces de travail sont conçus pour être légers et sécurisés, avec une utilisation de la mémoire et du processeur qui s’adapte en fonction de l’activité. Windows ajoutera progressivement différents types d’espaces de travail avec différentes capacités. Dans cette première version préliminaire, l’espace de travail de l’agent s’exécute dans une session Windows distincte, ce qui permet aux agents d’interagir avec les applications en parallèle de votre propre session. Pour les opérations courantes, cette configuration est plus efficace qu’une machine virtuelle complète telle que Windows Sandbox, tout en offrant une isolation sécurisée, une prise en charge de l’exécution parallèle et en laissant le contrôle à l’utilisateur. L’expérience globale et le modèle de sécurité sont activement perfectionnés afin de respecter les principes clés de transparence, de sécurité et de contrôle par l’utilisateur ».

    Fonctionnement général

    L’agent workspace est mis en œuvre ainsi :

    • Il existe un nouveau réglage (« Experimental agentic features ») que l’utilisateur doit activer. Sans ce réglage, les agents ne peuvent pas opérer : « L’espace de travail de l’agent n’est activé que lorsque vous activez le paramètre expérimental de la fonctionnalité agentique. Cette fonctionnalité est désactivée par défaut. Nous vous recommandons de n’activer cette fonctionnalité que si vous comprenez les implications en matière de sécurité décrites sur cette page. Ce paramètre ne peut être activé que par un utilisateur administrateur de l’appareil et, une fois activé, il est valable pour tous les utilisateurs de l’appareil, y compris les autres administrateurs et les utilisateurs standard ».
    • Chaque agent fonctionne sous son propre compte utilisateur (distinct de votre compte principal), ce qui permet de cloisonner ses actions, d’autoriser ou restreindre ses droits, et de séparer ses logs et activités.
    • Les agents peuvent se voir accorder l’accès à certains dossiers connus de l’utilisateur (Documents, Téléchargements, Bureau, Images, Musique, Vidéos) pour pouvoir agir sur vos fichiers.
    • L’agent workspace fonctionne dans une session Windows séparée, permettant une exécution parallèle à votre propre session, mais de façon plus légère qu’une machine virtuelle traditionnelle.

    L’avertissement qui change tout

    La mise en garde officielle de Microsoft n’est pas anodine. L’entreprise reconnaît, à travers cette annonce, que l’IA agentique introduit une classe entière de risques nouveaux.

    L’un des plus inquiétants est ce que Microsoft appelle le « cross-prompt injection » (XPIA). En clair : un document, une interface ou un simple texte contenant une instruction invisible pour l’utilisateur peut tromper l’agent IA. Celui-ci pourrait alors exécuter une action non désirée, par exemple télécharger un logiciel malveillant, l’installer, le lancer ou exfiltrer des données sensibles.

    C’est une vulnérabilité conceptuelle très différente des attaques classiques. Il ne s’agit plus de tromper l’utilisateur, mais de tromper l’assistant intelligent — qui, lui, a accès à des zones du système où l’utilisateur lui-même ne va pas toujours.

    Microsoft insiste : la fonction sera désactivée par défaut, ne pourra être activée que par un administrateur, et une fois activée, elle s’applique à tous les comptes de l’appareil. Autrement dit, dans une entreprise ou une famille, tous les utilisateurs héritent automatiquement de la présence de l’agent IA.

    […]

    Fin de l’article réservé aux abonnés : developpez.com


  • Trump Make America Great Again, again
  • Raccoonundefined Raccoon

    Donald Trump lance un « Silence, petite cochonne ! » à une reporter de Bloomberg

    Le président américain a pointé du doigt et insulté une journaliste de Bloomberg lors d’un échange à bord d’Air Force One.

    Le président américain Donald Trump s'adresse aux membres de la presse à bord d'Air Force One le 14 novembre 2025, alors qu'il est en vol entre Washington, DC et l'aéroport international de West Palm Beach. ROBERTO SCHMIDT
/ AFP
    Le président américain Donald Trump s’adresse aux membres de la presse à bord d’Air Force One le 14 novembre 2025, alors qu’il est en vol entre Washington, DC et l’aéroport international de West Palm Beach. ROBERTO SCHMIDT / AFP

    Le président américain va toujours plus loin dans les outrances. Lorsqu’il ne moque pas les accents des journalistes étrangers ou humilie des dirigeants étrangers, Donald Trump trouve maintenant le temps d’insulter une journaliste. Le grand manitou des « Maga » a ordonné à une journaliste de se taire « Silence, petite cochonne ! » alors qu’il répondait à des questions sur sa relation avec Jeffrey Epstein à bord d’Air Force One, vendredi dernier mais la vidéo n’est apparue qu’en ce début de semaine.

    “Quiet. Quiet, Piggy.”

    Trump completely loses it at a female reporter who asked about the Epstein files. What a disgusting man.
    pic.twitter.com/dhS4IJ1KC6

    — Republicans against Trump (@RpsAgainstTrump)

    Le président américain rentrait à Washington vendredi lorsque Catherine Lucey, une journaliste du média économique Bloomberg, lui a demandé pourquoi il ne voulait pas divulguer les dossiers restants sur Jeffrey Epstein lors d’une habituelle séance de questions-réponses avec la presse.

    Agacé le milliardaire a pointé du doigt la journaliste, : « Silence, petite cochonne. ». Il n’a pas fallu longtemps aux détracteurs du président américain pour massivement diffuser la vidéo de cet incident choquant pour une personnalité de cette stature.

    Occupy Democrats, une organisation politique de gauche, a déclaré : « C’est le président des États-Unis. C’est ainsi qu’il s’adresse à la presse et aux autres adultes qu’il est censé diriger. L’Amérique peut faire beaucoup mieux ! »

    […]

    Article complet : leparisien.fr




    Pas trop jaloux @duJambon ? :cochon:


  • Une panne généralisée de Cloudflare serait due à un pic de trafic inexpliqué
  • Raccoonundefined Raccoon

    Ticket ouvert par un client hier.

    Corrélation n’est pas causalité. :fume:


  • On ne se moque pas de ces choses là.
  • Raccoonundefined Raccoon

    @michmich a dit dans On ne se moque pas de ces choses là. :

    Ou alors un petit malin c’est dit qu’il venait de sortir le jeu de mot du mois!

    Je penche assez pour cette option.


  • Tentatives de Phishing
  • Raccoonundefined Raccoon

    Europol me recherche activement, je vais devoir partir en cavale. :bye_cry:


  • On ne se moque pas de ces choses là.
  • Raccoonundefined Raccoon

    « AESH » ressemble trop à « Daesh » : la police décroche les banderoles de parents d’élèves

    À Champigny-sur-Marne, vendredi 7 novembre, des parents d’élèves ont déployé des banderoles pour réclamer davantage d’accompagnants pour enfants en situation de handicap dans une école publique. Trois policiers municipaux sont intervenus pour les retirer, considérant que le mot « AESH » était trop proche de « Daesh ».

    Source :
    https://www.ouest-france.fr/societe/faits-divers/aesh-ressemble-trop-a-daesh-la-police-decroche-les-banderoles-de-parents-deleves-a6cbf3c8-c3c5-11f0-989f-7065bd4a8ace


  • WhatsApp : l’ouverture aux messageries tierces va commencer en Europe
  • Raccoonundefined Raccoon

    Démarrage en côte

    Meta est prête à lancer son « ouverture » aux messageries tierces pour WhatsApp. Plus de trois ans de travail auront été nécessaires, selon l’entreprise. Mais les deux premières applications compatibles sont peu connues et les serveurs intermédiaires seront sous le contrôle de Meta.

    On savait que WhatsApp travaillait sur le sujet de la compatibilité avec les autres messageries depuis plusieurs années. Une obligation en vertu du DMA, WhatsApp étant un contrôleur d’accès par sa quasi-ubiquité. Utilisée par des milliards de personnes à travers toute la planète, la messagerie de Meta est en effet partout et s’est vu imposer comme telle une liste d’obligations. Depuis février dernier, elle est aussi une VLOP (Very Large Online Platform) en vertu du DSA.

    L’entreprise avait communiqué sur ce sujet pour la première fois en février 2024, avant de donner plus de détails le mois suivant. Elle indiquait alors travailler sur une solution depuis deux ans. Meta avait exposé son plan : l’utilisation de XMPP pour autoriser d’autres messageries à se connecter aux serveurs WhatsApp, à la condition que leur protocole de communication soit Signal ou équivalent.

    Le déploiement va commencer

    Dans un billet paru ce 14 novembre, Meta explique que cette capacité arrive bel et bien. L’entreprise indique avoir mené « des tests à petite échelle réussis au cours des derniers mois » et qu’elle est maintenant prête à passer au déploiement effectif.

    Les deux premières messageries à avoir accepté de « rendre leurs applications interopérables » sont BirdyChat et Haiket, peu connues. La fonction sera « déployée bientôt dans toute l’Europe », sur Android comme sur iOS. Les textes, images, vidéos, messages vocaux et fichiers pourront donc être échangés. Les groupes de conversation n’arriveront cependant que plus tard : « quand nos partenaires seront prêts à prendre en charge cette option », indique étrangement Meta.

    […]

    Article complet : next.ink


  • Yann LeCun, l'un des meilleurs chercheurs en IA de Meta et l'un des plus grands scientifiques mondiaux dans ce domaine, quitte l'entreprise, estimant que les grands modèles de langage (LLM) sont une impasse
  • Raccoonundefined Raccoon

    Yann LeCun, l’un des meilleurs chercheurs en IA de Meta et l’un des plus grands scientifiques mondiaux dans ce domaine, quitte l’entreprise, estimant que les grands modèles de langage (LLM) sont une impasse.

    Un rapport a révélé que Yann LeCun, l’une des figures les plus influentes du monde de l’intelligence artificielle et scientifique en chef de Meta, serait sur le point de démissionner. Pionnier du deep learning et figure de proue de la recherche en IA, Yann LeCun serait sur le point de partir en raison d’un désaccord fondamental avec l’intérêt actuel de l’industrie pour les grands modèles de langage (LLM), qu’il considère comme une « impasse » pour atteindre une véritable intelligence humaine.

    Les systèmes d’IA actuels se heurtent à des limites majeures dans l’automatisation du travail. Pour certains, cela est lié à leur incapacité à apprendre en continu comme le font les humains. Yann LeCun, responsable de l’IA chez Meta, a déclaré que les grands modèles de langage (LLM) actuels n’atteindront pas l’intelligence humaine et ne conduiront pas l’intelligence artificielle générale (AGI). Leur incapacité à construire un contexte, apprendre à partir de retours d’information ou s’améliorer au fil du temps comme le font les employés humains remettent en causes les discours enthousiastes selon lesquels l’AGI arrivera à la fin de la décennie, voire plus tôt.

    Yann André Le Cun, généralement orthographié LeCun, est un informaticien franco-américain qui travaille principalement dans les domaines de l’apprentissage automatique, de la vision par ordinateur, de la robotique mobile et des neurosciences computationnelles. Il est scientifique en chef en intelligence artificielle (IA) chez Meta. En 2018, LeCun, Yoshua Bengio et Geoffrey Hinton ont reçu le prix Turing pour leurs travaux sur l’apprentissage profond. Les trois hommes sont parfois appelés les « parrains de l’IA » et les « parrains de l’apprentissage profond ».

    Récemment, un rapport a révélé que Yann LeCun, l’une des figures les plus influentes du monde de l’intelligence artificielle et scientifique en chef de Meta, serait sur le point de démissionner. Pionnier du deep learning et figure de proue de la recherche en IA, Yann LeCun serait sur le point de partir en raison d’un désaccord fondamental avec l’intérêt actuel de l’industrie pour les grands modèles de langage (LLM), qu’il considère comme une « impasse » pour atteindre une véritable intelligence humaine. Yann LeCun prône plutôt un changement révolutionnaire vers les « modèles de monde » (world model).

    À 65 ans, Yann LeCun jouit d’un statut d’éminent spécialiste au sein de la communauté de l’IA, ayant bénéficié de vastes ressources au sein de la division « recherche fondamentale en IA » de Meta. Sa démission imminente, corroborée par plusieurs rapports crédibles, intervient à un moment où Meta, comme de nombreux géants de la technologie, investit massivement dans l’IA, recrute les meilleurs talents et, selon le PDG Mark Zuckerberg, se rapproche même de la « superintelligence ».

    Cependant, LeCun laisse depuis longtemps entendre son scepticisme. Il est devenu célèbre pour ses critiques à l’égard des architectures LLM actuelles, déclarant dès avril dernier qu’« un LLM est fondamentalement une sortie de secours, une distraction, une impasse ». Cette position a suscité une certaine controverse, des critiques comme Gary Marcus soulignant un revirement apparent après que LeCun ait précédemment défendu les LLM. Néanmoins, la conviction de LeCun est claire : le simple fait d’augmenter la taille des LLM existants ne permettra pas d’obtenir une véritable intelligence.

    <iframe class=“restrain” title=“YouTube video player” width=“560” height=“315” allowfullscreen=“” src=“

    ” frameborder=“0”></iframe>

    Une analyse récente suggère que des dynamiques internes potentielles ont contribué à la décision de LeCun. L’été dernier, Alexandr Wang, 28 ans, co-créateur du ChatGPT, une application basée sur le LLM, a été nommé responsable de l’IA chez Meta, devenant ainsi le supérieur hiérarchique de LeCun. De plus, Shengjia Zhao, un autre scientifique en chef relativement jeune vantant les « percées » en matière de mise à l’échelle, a rejoint Meta cette année, au-dessus de LeCun. Ces nominations soulignent un pivot stratégique au sein de Meta vers les approches de mise à l’échelle LLM auxquelles LeCun a perdu confiance. Le fonctionnement de l’IA chez Meta est décrit comme ayant un organigramme excentrique, composé de plusieurs groupes distincts, qui a vu des centaines de licenciements le mois dernier dans le cadre d’un effort de rationalisation.

    […]

    Article complet : developpez.com


  • Weda : une cyberattaque et une semaine de galère pour 23 000 médecins
  • Raccoonundefined Raccoon

    Health Data leak

    L’éditeur du logiciel médical Weda et filiale du groupe de santé Vidal a subi une cyberattaque la semaine dernière. Les 23 000 médecins et structures médicales clients n’ont pas pu accéder aux données de leurs patients pendant plusieurs jours. De nombreuses questions restent en suspens, relatives à la responsabilité d’informer les patients ou à la nature des informations potentiellement dérobées.

    Depuis lundi 10 novembre, des milliers de praticiens de santé ont été touchés par les conséquences d’une cyberattaque contre l’éditeur du logiciel médical Weda, une filiale du groupe de santé Vidal depuis 2019.

    Weda affiche plus de 23 000 utilisateurs, professionnels de santé sur son site internet. Mais l’accès au service a été coupé par l’entreprise le lundi 10 novembre à 23 h avant l’envoi mercredi 12 novembre d’un message à ses clients indiquant que ses « équipes ont détecté une activité inhabituelle sur certains comptes utilisateurs, laissant penser à des tentatives d’accès non autorisés », a appris le Mag IT.

    Weda expliquait dans ce message que « depuis cette décision, [ses] équipes techniques et de cybersécurité travaillent sans relâche, en collaboration avec des experts externes, pour renforcer les mesures de protection ».

    Toujours dans ce message daté de lundi dernier, elle annonçait à ses clients que « les premières analyses indiquent que les accès malveillants auraient pu permettre une extraction partielle de données, mais ni l’ampleur ni la confirmation formelle d’une fuite de données ne sont encore établies ». Elle ajoutait que « la faille d’accès est fermée et aucune nouvelle activité suspecte n’a été détectée ».

    Plusieurs jours sans accès aux dossiers patients

    Si Weda leur a envoyé plusieurs emails pour les tenir au courant de la situation, ses clients ont quand même dû attendre plusieurs jours pour avoir de nouveau accès au service. Jusqu’à vendredi 14 novembre, les médecins qui utilisent quotidiennement le service de l’entreprise pour gérer notamment les dossiers de leurs patients ne pouvaient plus s’y connecter.

    […]

    Article complet : next.ink


  • [Aide] windows 11 nous fait des caprices
  • Raccoonundefined Raccoon

    La meilleure solution c’est de réinitialiser le mot de passe à l’aide d’outils fournis dans Medicat.
    Ca demande quelques manipulations, la plus compliquée (mais loin d’être insurmontable) étant d’arriver à démarrer sur la clé USB créée pour Medicat.


  • [Aide] windows 11 nous fait des caprices
  • Raccoonundefined Raccoon

    C’est un PC acheté d’occasion ?


  • [Aide] windows 11 nous fait des caprices
  • Raccoonundefined Raccoon

    Bonjour @azurette, est-ce que tu as le fameux mot de passe administrateur ?

    Si oui, alors tape la commande netplwiz dans le champ de recherche de la barre des tâches, authentifie-toi avec le compte administrateur. Tu vas alors arriver sur la console de gestion des comptes utilisateurs. Sélectionne le nom d’utilisateur que tu utilises quotidiennement, clique sur Propriétés et dans la nouvelle fenêtre qui apparait coche l’option pour qu’il devienne administrateur du PC. Redémarre alors ce dernier.

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    Si tu ne l’as pas, alors il va falloir utiliser un logiciel pour changer ce mot de passe administrateur.


  • intervention de Fabrice ARFI
  • Raccoonundefined Raccoon

    Voilà un exposé clair, net et argumenté. Merci du partage.


  • Microsoft bloque enfin KMS38 qui permettait de cracker Windows
  • Raccoonundefined Raccoon

    Microsoft met fin à KMS38, la méthode qui exploitait la licence numérique pour activer Windows jusqu’en 2038. Découvrez ce qui a changé et pourquoi cette technique ne fonctionne plus.

    Depuis des années, KMS2038 était devenu l’un des moyens les plus répandus pour contourner l’activation de Windows grâce à un fonctionnement interne que Microsoft n’avait jamais totalement verrouillé. Cette méthode permettait d’obtenir une activation prolongée jusqu’en 2038 sans les limites du KMS classique. Mais les mises à jour récentes de Windows changent la donne. Microsoft a enfin mis fin à cette parenthèse technique en bloquant définitivement le mécanisme utilisé par KMS38.

    Qu’est-ce que KMS38 ?

    KMS38 désigne une méthode d’activation non officielle qui détournait la logique du système de licences de Windows pour obtenir une activation prolongée jusqu’en 2038. Contrairement au KMS classique, qui repose sur un serveur d’activation utilisé légitimement dans les environnements professionnels et dont la durée est limitée à cent quatre-vingts jours, KMS38 ne nécessitait ni serveur ni renouvellement. Il s’appuyait sur une manipulation interne de la licence numérique afin de pousser artificiellement sa date d’expiration très loin dans le temps.

    Élément KMS KMS38
    Type Méthode officielle d’activation volume Exploit non officiel
    Durée 180 jours renouvelables Activation jusqu’en 2038
    Renouvellement Obligatoire (tous les 180 jours) Aucun renouvellement
    Serveur requis Serveur KMS Non
    Cadre légal Autorisé en entreprise Non autorisé

    Cette absence de renouvellement et l’utilisation d’un comportement interne non documenté ont rapidement conduit la communauté à considérer KMS38 comme un véritable exploit. Le KMS officiel s’inscrit dans un cadre d’activation strictement encadré et pensé pour les organisations, alors que KMS38 reposait sur une faille conceptuelle qui transformait une activation temporaire en une activation durable qui dépassait largement les limites du protocole standard.

    Le nom KMS38 fait directement référence à l’année 2038, date à laquelle expirait l’activation générée par cette approche. Cette longévité exceptionnelle, combinée à l’absence totale de dépendance à un serveur d’activation, explique la popularité considérable de cette méthode dans la scène du cracking Windows. Pendant des années, KMS38 a été intégré aux scripts les plus utilisés et s’est imposé comme l’un des procédés privilégiés par ceux qui souhaitaient activer Windows en dehors des canaux légitimes.

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    Comment KMS38 exploitait-il le système d’activation ?

    Le fonctionnement de KMS38 reposait sur une utilisation détournée de l’outil gatherosstate.exe, un composant destiné à générer un ticket d’activation lors des migrations ou des réinstallations de Windows. En modifiant la façon dont ce ticket était interprété, KMS38 parvenait à inscrire dans le système une licence numérique reconnue comme valide sans avoir à contacter un serveur KMS.

    Contrairement au KMS traditionnel qui impose une vérification régulière et un renouvellement tous les cent quatre-vingts jours, KMS38 ne nécessitait aucune communication ni mise à jour. Une fois le ticket injecté, la machine restait activée pendant des décennies, sans aucune interaction supplémentaire avec les services d’activation.

    La mise à jour de novembre bloque définitivement KMS38

    Les mises à jour déployées ces dernières années ont progressivement resserré l’étau autour de KMS38 en modifiant les fondations mêmes sur lesquelles reposait cette méthode. Microsoft a d’abord initié ce mouvement en retirant gatherosstate des ISO les plus récentes, privant ainsi les outils non officiels de l’élément clé permettant de générer un ticket d’activation détourné. Parallèlement, les mécanismes de migration de licence ont été renforcés, rendant le système beaucoup moins permissif face aux manipulations qui prolongeaient artificiellement la validité de la licence numérique.

    KMS38

    Échec KMS38 sur Windows 11 après la mise à jour de novembre 2025.

    Le basculement décisif est intervenu avec les mises à jour de la fin de l’année 2025, qui ont profondément revu la manière dont Windows interprète et conserve ses informations d’activation. Ces correctifs ont définitivement éliminé le comportement interne dont KMS38 tirait parti, empêchant toute tentative de recréer une licence prolongée jusqu’en 2038. À partir de ce moment, les systèmes à jour ont cessé de reconnaître les tickets issus de cet exploit, actant la disparition d’une technique qui avait longtemps défié les mécanismes officiels d’activation.

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    Les méthodes encore fonctionnelles malgré la fin de KMS38

    L’abandon définitif de KMS38 ne signifie pas pour autant la disparition de toutes les méthodes d’activation non officielles. Il est essentiel de rappeler que KMS38 reposait sur une particularité interne du système de licence numérique, particularité que Microsoft a désormais colmatée. Cette méthode tirait parti d’un comportement devenu obsolète, ce qui explique pourquoi elle s’est écroulée dès que les mécanismes profonds de validation ont été modifiés.

    Les approches fondées sur le protocole KMS traditionnel continuent de fonctionner. Elles s’appuient sur une logique différente, et étroitement liée au modèle d’activation en volume déployé dans les entreprises. En reproduisant le comportement d’un serveur KMS, ces méthodes s’alignent sur ce que Windows attend dans un contexte professionnel. Microsoft ne peut pas les neutraliser sans toucher à la structure même des licences en volume, un terrain extrêmement sensible pour les infrastructures d’entreprise. Tant que ce socle reste inchangé, ces activations demeurent naturellement plus résilientes.

    Méthode Nature du mécanisme Dépendance
    KMS38 Détournement du ticket gatherosstate Hors ligne, sans serveur
    KMS (émulation) Simulation d’un serveur KMS identique à l’activation en volume Microsoft Nécessite l’équivalent d’un hôte KMS local
    HWID Attribution d’une licence numérique liée au matériel Basée sur la Digital Entitlement
    TSForge Manipulation du système de tickets internes de Windows Interagit avec certains composants du store de licences

    Il existe des méthodes qui ne relèvent pas du tout de la famille KMS comme celles basées sur la génération d’une licence numérique liée au matériel. Elles exploitent un autre pan du système d’activation, indépendant du protocole KMS et moins exposé aux évolutions visant ce dernier. Leur fonctionnement repose sur la manière dont Windows attribue, migre ou valide une licence numérique à partir d’un identifiant matériel, ce qui les place dans une catégorie à part avec leurs propres limites et dépendances techniques.

    Source : assistouest.fr


  • Que faire face à la merdification de l’information
  • Raccoonundefined Raccoon

    Comme disait Napoléon, « faut pas croire tout ce qu’on lit sur Internet »

    N’ayons pas peur des mots, nous sommes dans une « merdification » importante de l’information. Le phénomène n’est pas nouveau, mais il prend de l’importance sur les réseaux sociaux et avec l’IA générative. La balle est dans le camp des internautes.

    Enshittification ou merdification a été élu mot de l’année 2024 par le dictionnaire d’anglais australien Macquarie. Sa définition : « détérioration progressive d’un service ou d’un produit, en particulier d’une plateforme en ligne, provoquée par une réduction de la qualité du service fourni résultant de la recherche de profit ».

    Ce terme s’applique parfaitement à l’information en ligne. Le phénomène n’est pas nouveau, mais il est de plus en plus inquiétant. Un bon terreau de cette merdification est la course à l’information. Il ne faut pas confondre vitesse et précipitation ; les exemples sont malheureusement nombreux et la situation se répète inlassablement.

    La course à l’audience

    Sur Internet, cette course à l’information va (malheureusement) de pair avec celle de l’audience. La raison est simple : la publicité, dont les revenus sont directement liés au nombre de visiteurs (les fameux visiteurs uniques ou VU dans le jargon du métier) ou de pages vues. D’une information claire et objective, on dérive depuis longtemps vers des titres putaclicks, des fake news et, de plus en plus, un mélange des deux.

    Avec la merdification de l’information, le phénomène va plus loin. Les gens (et pas uniquement les jeunes) s’abreuvent maintenant sur les réseaux sociaux et s’informent par le prisme de certains influenceurs. Pour reprendre les inconnus : « y’a le mauvais chasseur [d’information] : y voit un truc qui bouge, y tire. Le bon chasseur : y voit un truc, y tire… ».

    Dans l’information, c’est presque pareil, sauf que ceux qui racontent n’importe quoi sont les premiers à tirer, ceux qui enquêtent tirent plus tard. La course à l’audimat pousse une grande partie des médias à tirer le plus vite possible. L’information est fausse ? Pas « grave », une seconde sera publiée s’il y a de quoi (re)faire de l’audience, sinon elle sera limite laissée de côté.

    Nous avons déjà longuement parlé de la loi de Brandolini ou « principe d’asymétrie des idioties » pour les sciences, mais cela touche désormais toutes les catégories d’information. Ne pas oublier que ceux qui racontent des idioties (pour rester poli) ne prennent pas de pincettes et foncent tête baissée, là où les chercheurs et scientifiques pèsent les conséquences et la portée de leurs mots. Deux discours, une même cible, mais pas les mêmes règles du jeu.

    Combien de fois des informations ont fait les gros titres lors d’une condamnation alors que le jugement cassé en appel n’est quasiment pas évoqué ? Beaucoup trop… Combien de fois de fausses vidéos sont relayées sans jamais corriger le tir ? Beaucoup trop… Combien de fois des fuites de données inexistantes font les gros titres (et font le jeu des pirates) ? Beaucoup trop… Vous avez compris l’idée.

    La course à la visibilité

    La situation évolue, mais pas dans le bon sens. Aujourd’hui, personnalités publiques et influenceurs ont un vrai pouvoir sur les gens et le moindre geste peut déplacer des foules. Un exemple récent avec un t-shirt vintage d’un aquarium porté par Taylor Swift. Des fans voulaient le même, l’aquarium en fait une réédition et le propose en « cadeau » pour un don à la protection des loutres. Montant de l’opération : plus de 2 millions de dollars. Rien de grave ici, au contraire, mais cela montre à quel point une idole peut faire bouger les choses.

    Le problème étant que certains influenceurs poussent parfois à leur communauté des produits illégaux et/ou dangereux, au mépris des lois. L’année dernière, la DGCCRF dressait un triste bilan : sur 310 influenceurs contrôlés, 151 étaient « en anomalies ».

    Les marques ont bien compris le potentiel des influenceurs et l’océan (plus ou moins grand) de poissons à attraper. Rappel : vous êtes le poisson. Pour vous attraper, marques et/ou influenceurs passent parfois la ligne rouge puisque la mention d’un partenariat commercial n’est pas toujours indiquée.

    De l’information consommée par certains sur les réseaux sociaux, on se retrouve à avoir des messages publicitaires, que ce soit pour des produits ou des idées (politiques). Les influenceurs s’invitent aussi dans la vie politique et vice-versa, cela soulève d’autres questions sur l’information politique diversifiée. Si la télévision et la radio sont dans le viseur de l’Arcom, le web et les réseaux sociaux sont encore laissés de côté.

    Le sujet de la régulation ne bouge pas vraiment alors qu’en mars prochain auront lieu les élections municipales, puis les présidentielles en 2027. Il y a de quoi être inquiet, d’autant que la génération des enfants nés dans la seconde moitié des années 2000, qui ont donc grandi avec les réseaux sociaux, sont désormais en âge de voter.

    La course au sensationnel

    L’IA générative est aussi un problème, qui fait des dégâts dans les médias. Dernier exemple en date, ce qui était présenté comme le projet « sky stadium » de l’Arabie saoudite. Une vidéo montrant ce que devait être un stade à 350 mètres d’altitude était fausse, comme l’indique l’AFP Factuel.

    […]

    Article complet : next.ink


  • Comment activer le nouveau menu Démarrer de Windows 11 ?
  • Raccoonundefined Raccoon

    I. Présentation

    Pour la première fois depuis plusieurs années, Microsoft a effectué des modifications importantes au menu Démarrer de Windows 11. Mais, comment faire pour activer le menu Démarrer 2025 de Windows ? C’est ce que nous allons voir dans ce tutoriel.

    À partir de la mise à jour obligatoire de novembre 2025, Microsoft a pris la décision de commencer à déployer le nouveau menu Démarrer de Windows 11. Pour en bénéficier, vous devez donc installer la mise à jour KB5068861 sur votre PC Windows 11. Si après l’installation de la mise à jour le menu Démarrer n’apparaît pas, c’est normal, car il est déployé progressivement, donc vous avez deux options :

    • Attendre patiemment que votre machine bénéficie du menu Démarrer
    • Forcer l’activation du menu Démarrer avec l’outil ViveTool, comme nous allons le voir dans ce tutoriel.

    II. Le nouveau menu Démarrer de 2025

    Le nouveau menu Démarrer se divise en trois zones : Épinglé, Nos recommandations, Tout. La zone dédiée aux recommandations peut être désactivée dans les paramètres de Windows 11. La zone “Tout” quant à elle, remplace la liste classique des applications, avec un nouveau mode avec trois types d’affichage, dont l’affichage par “Catégorie” comme le montre l’exemple ci-dessous. La liste des applications épinglées est limitée à deux lignes, bien qu’un bouton “Afficher tout” soit présent pour dérouler l’affichage.

    À la place de l’affichage par catégorie, vous avez le choix entre “Grille” et “Liste”. L’affectation des applications dans les catégories est gérée par Microsoft. Vous ne pouvez pas changer l’intitulé des catégories, ni même déplacer une application dans une autre catégorie. Cet affichage ne doit pas être confondu avec les dossiers que vous pouvez créer dans le menu Démarrer.

    Désormais, le menu Démarrer se redimensionne automatiquement pour s’ajuster à la taille de l’écran. Il y a aussi un nouveau panneau latéral, qui s’ajoute sur la droite, lorsque la synchronisation avec le mobile est activée (Mobile Connecté).

    Voici une comparaison entre le menu Démarrer classique (à gauche) et le nouveau menu Démarrer (à droite).

    III. Activer le nouveau menu Démarrer

    Pour forcer l’activation du nouveau menu Démarrer de Windows 11, vous pouvez utiliser l’outil communautaire ViveTool. Au-delà de permettre l’activation de ce nouveau menu Démarrer, cet outil permet de forcer l’activation d’une multitude de fonctionnalités.

    Note : cet outil active des “flags” internes de Windows, ce sont des fonctionnalités expérimentales ou en déploiement progressif.

    Commencez par le télécharger depuis le GitHub officiel :

    • Télécharger ViveTool

    Téléchargez la dernière version pour “IntelAmd”, sauf si vous avez une machine ARM (avec une puce Snapdragon, par exemple). Vous allez obtenir une archive ZIP nommée “ViveTool-v0.3.4-IntelAmd.zip”.

    À l’aide de l’Explorateur de fichiers, vous devez extraire cette archive ZIP. Effectuez un clic droit sur le fichier ZIP puis cliquez sur “Extraire tout…”. Validez l’opération avec l’assistant sans effectuer de choix spécifique.

    Ouvrez une Invite de commande en tant qu’administrateur (via un clic droit). Puis, positionnez le terminal dans le répertoire de ViveTool. Si vous avez décompressé l’archive ZIP dans le dossier “Téléchargements” de votre profil utilisateur, cela donnera un chemin similaire à celui-ci :

    cd "C:\Users\Florian\Downloads\ViVeTool-v0.3.4-IntelAmd"
    

    Note : vous pouvez récupérer facilement le chemin d’accès via un clic droit sur le dossier de ViveTool en sélectionnant l’option “Copier en tant que chemin d’accès”.

    Ensuite, exécutez la commande suivante pour activer le nouveau menu Démarrer :

    .\ViVeTool.exe /enable /id:47205210
    

    Redémarrez votre ordinateur.

    Note : avec ViveTool, tous les ID ne fonctionnent pas forcément dans tous les builds de Windows 11. Selon votre version / canal (Beta, Stable) certains peuvent être inactifs.

    Connectez-vous à votre session, et là, miracle : voici le nouveau menu Démarrer. Ci-dessous, un avant/après l’exécution de cette commande.

    IV. Conclusion

    En suivant les étapes décrites dans ce tutoriel, vous devriez être en mesure d’activer le nouveau menu Démarrer sur votre PC Windows 11. Il est disponible pour les machines sous Windows 11 24H2 et Windows 11 25H2, car ces deux versions ont le droit aux mêmes fonctionnalités.

    FAQ

    Pourquoi le nouveau menu Démarrer de Windows 11 n’apparait pas ?

    Si le nouveau menu Démarrer de Windows 11 (version de novembre 2025) n’apparaît pas sur votre PC, c’est probablement parce que vous n’avez pas installé la mise à jour de novembre 2025 (KB5068861).

    Quelle mise à jour active le nouveau menu Démarrer de Windows 11 ?

    Le nouveau menu Démarrer de Windows 11, dans sa version de l’automne 2025, peut être activé avec la mise à jour KB5068861 publiée le mardi 11 novembre 2025. Il est aussi activé par la mise à jour optionnelle (préversion) publiée le 28 octobre 2025, à savoir la KB5067036.

    Peut-on masquer ou supprimer la section “Nos recommandations” du menu Démarrer ?

    Oui, à partir des paramètres de Windows 11, vous pouvez désactiver la section “Nos recommandations”. Accédez à : Paramètres > Personnalisation > Démarrer, puis au niveau de la zone “Recommandée”, désactivez toutes les options.

    Peut-on revenir au menu Démarrer classique ?

    Sans avoir recours à une application tierce, c’est possible mais ce sera seulement temporaire. Vous pouvez exécuter la commande **vivetool /disable /id:47205210** pour annuler l’effet de la commande ViveTool précédemment exécutée. Néanmoins, quand Microsoft décidera de l’activer sur votre machine, ce sera plus compliqué.

    Source : it-connect.fr


  • La Russie présente son tout premier robot humanoïde, qui s’effondre sur scène au bout de 15 secondes
  • Raccoonundefined Raccoon

    Criant de vérité ce robot, on jurerait un vrai russe.

    :ivre:


  • On ne se moque pas de ces choses là.
  • Raccoonundefined Raccoon

    @duJambon c’est en effet cher pour ce que c’est


  • Des voitures volées à l’aide d’enceintes connectées : la gendarmerie alerte sur "un phénomène" en forte hausse
  • Raccoonundefined Raccoon

    @Popaul il y a quelques semaines un mec externe à ma boîte à dû attendre 20 min avant de partir que sa bagnole se mette a jour.
    Genre de truc que je trouverais insupportable.

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