Actualités High-Tech

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    @Indigostar a dit dans Les VPN ferment leurs serveurs en Inde, mais pourquoi ? :

    leurs serveurs hindous

    J’ignorai qu’un serveur pouvait avoir une religion !

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    Bonne nouvelle, voyons voir qui le premier va dégainer avec un OS custom

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    @Pollux

    Je précise:

    PRA: Plan de reprise d’activité PCA: Plan, de continuité d’activité

    Le PRA est pour moi un minimum à mettre en place pour toute entreprise, surtout maintenant.

    Le PCA obligatoire bien sur pour des entités aussi vitales que les hôpitaux. Encore faut-il en avoir tous les moyens.

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    genre les Russes ca les dérangent d’utiliser un Windows cracker ou non officiel

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    @Ashura a dit dans [USA] La police peut désormais visionner les caméras de surveillance privées en temps réel, cette mesure ne rendrait pas la ville sécurisée :

    J’aurais précisé dans le titre que ça se passe aux US et non en FRANCE.

    ca commence toujours comme ca et ca arrive chez nous après

    Pas pour tout, j’attends toujours mon Dodge Ram, et mon boeuf aux hormones.

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    Si ça, c’est pas un pied de nez fait aux États-Unis …

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    Comme je disais sur l’autre topic dans 6 mois soit il est en prison, soit il a un super taf

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    Sur les mesures prises par l’entreprise pour réduire les coûts

    Le PDG de Google, Sundar Pichai, a dû faire face à l’ire des employés de l’entreprise en raison des mesures d’économie qu’elle a prises, notamment les réductions des budgets de voyage et de divertissement, la gestion de la productivité et les licenciements potentiels. En réponse à la question de savoir pourquoi Alphabet avait mis en place toutes ces mesures, Pichai aurait déclaré aux employés qu’il espère qu’ils sont informés des vents contraires à l’économie mondiale. Il aurait ajouté que les employés devaient se serrer les coudes pour traverser cette période de turbulences et leur aurait également demandé de ne pas “assimiler le plaisir à argent”.

    Alors que Google tente de naviguer dans un environnement peu familier de ralentissement de la croissance, de réduction des coûts et de désaccord des employés sur les changements culturels, le PDG Sundar Pichai se retrouve sur la défensive. Lors d’une réunion générale de l’entreprise cette semaine, Pichai aurait été confronté à des questions difficiles de la part des employés concernant les réductions des budgets de voyage et de divertissement, la gestion de la productivité et les licenciements potentiels. Selon plusieurs sources, les employés étaient mécontents des restrictions sur les allocations de fin d’années et d’autres avantages.

    Dans une question qui a été très bien notée par les employés sur le système interne Dory de Google, on a demandé à Pichai pourquoi l’entreprise “ponctionne les employés” en réduisant les budgets de voyage et de divertissement à un moment où “Google engrange des bénéfices records et d’énormes réserves de trésorerie”, comme c’était le cas à la sortie de la pandémie de Covid. En réponse, Pichai aurait déclaré à l’assemblée qu’il espérait que tout le monde lisait les nouvelles de l’extérieur et que les employés devaient se montrer plus responsables dans “l’une des conditions macroéconomiques les plus difficiles de la dernière décennie”.

    « Comment puis-je le dire ? Écoutez, j’espère que vous lisez tous les nouvelles, à l’extérieur. Le fait que, vous savez, nous soyons un peu plus responsables à travers l’une des conditions macroéconomiques les plus difficiles en cours dans la dernière décennie, je pense qu’il est important qu’en tant que société, nous nous serrions les coudes pour traverser des moments comme celui-ci », a-t-il déclaré, selon un enregistrement audio de la réunion. Pichai est ensuite revenu sur sa réponse, soulignant qu’il n’est pas toujours nécessaire d’avoir plus d’argent pour s’amuser. « Je me souviens de l’époque où Google était petit et teigneux », a-t-il déclaré.

    « Le plaisir n’était pas toujours - nous ne devrions pas toujours assimiler le plaisir à l’argent. Je pense que vous pouvez entrer dans une startup qui travaille dur et les gens peuvent s’amuser et cela ne devrait pas toujours être assimilé à de l’argent », a-t-il ajouté. Malgré les réponses de Pichai, CNBC, qui a obtenu l’enregistrement, note que la réunion a été plutôt houleuse. Pichai n’a pas aidé son cas lorsqu’il a esquivé les questions sur la réduction de la rémunération des dirigeants comme moyen de réduire les coûts, montrant que les employés croient clairement qu’on leur demande de faire des sacrifices auxquels les dirigeants sont insensibles.

    La dernière réunion de l’ensemble du personnel a lieu alors qu’Alphabet, la société mère de Google, Meta et d’autres entreprises technologiques sont confrontées à une série de défis économiques, notamment une récession potentielle, une inflation galopante, une hausse des taux d’intérêt et des dépenses publicitaires modérées. Les entreprises qui, au cours des dix dernières années, étaient connues pour leur forte croissance et l’abondance de leurs avantages voient ce qu’il en est de l’autre côté. L’incertitude macroéconomique a conduit plusieurs entreprises technologiques à élaborer des mesures pour faire face au ralentissement économique.

    En juillet, Alphabet a annoncé pour le deuxième trimestre consécutif des bénéfices et des revenus inférieurs aux prévisions, et la croissance des ventes au troisième trimestre devrait se situer à un chiffre, contre plus de 40 % un an plus tôt. Pichai a admis que ce n’est pas seulement l’économie qui a causé des difficultés à Google, mais aussi une bureaucratie en expansion chez Google. Après l’explosion des effectifs de l’entreprise pendant la pandémie de Covid, la directrice financière d’Alphabet Ruth Porat a déclaré plus tôt cette année qu’elle s’attendait à ce que certains problèmes économiques persistent à court terme.

    Google a annulé la prochaine génération de son ordinateur portable Pixelbook et réduit le financement de son incubateur interne Area 120. En outre, au début du mois, Pichai a déclaré qu’il espérait rendre l’entreprise 20 % plus productive tout en ralentissant les embauches et les investissements. Et lors de la réunion de cette semaine, les employés ont demandé à Pichai de développer son commentaire concernant l’amélioration de la productivité et l’objectif de 20 %. « Je pense que vous pouvez être une équipe de 20 personnes ou une équipe de 100 personnes, nous allons être limités dans notre croissance dans une perspective d’avenir », a-t-il déclaré.

    « Peut-être que vous prévoyiez d’embaucher six personnes de plus, mais que vous allez devoir faire avec quatre et comment allez-vous faire pour que cela se produise ? Les réponses vont être différentes selon les équipes », a-t-il ajouté. Pichai a déclaré que la direction passe au peigne fin plus de 7 000 réponses qu’elle a reçues des employés concernant les suggestions de l’effort “Simplicity Sprint”, une initiative visant à solliciter les idées de ses plus de 174 000 employés sur la manière d’obtenir de meilleurs résultats plus rapidement et d’éliminer le gaspillage. Le PDG avait précédemment déclaré que la productivité n’était pas à la hauteur des effectifs.

    Marc Zuckerberg, PDG de Meta, a fait les mêmes commentaires il y a peu. Lors d’un entretien avec les employés fin juin, Zuckerberg a déclaré qu’il y a “un tas de gens dans l’entreprise qui ne devraient pas être là”. « Je pense que certains d’entre vous peuvent décider que cet endroit n’est pas pour eux, et cette autosélection me convient. De manière réaliste, il y a probablement un tas de personnes dans l’entreprise qui ne devraient pas être là », a-t-il déclaré. Ses propos, qui sont parmi les plus virulents qu’il ait adressés aux employés au cours des dernières années, reflètent le degré de difficulté auquel Meta est confrontée dans son activité.

    Vers la fin de la réunion, Pichai a répondu à une question sur les raisons pour lesquelles l’entreprise est passée d’une politique “d’embauche et de dépenses rapides à une politique tout aussi agressive de réduction des coûts”. Pichai n’était pas d’accord avec cette caractérisation. « Je suis un peu inquiet que vous pensiez que ce que nous avons fait est ce que vous définiriez comme une réduction agressive des coûts. Je pense qu’il est important que nous ne soyons pas déconnectés. Il faut avoir une vision à long terme dans des conditions comme celles-ci », a-t-il déclaré.

    Il a ajouté que Google continue d’investir dans des projets à long terme comme l’informatique quantique, et a déclaré qu’en période d’incertitude, il est important “d’être intelligent, d’être frugal, d’être teigneux, d’être plus efficace”. Bret Hill, vice-président de Google chargé de la rémunération globale, a répondu à une question sur les augmentations de salaire, les actions et les primes et sur la manière dont elles seront affectées par les changements. Il a déclaré que l’entreprise ne prévoyait pas de s’écarter de la rémunération des travailleurs “dans le haut du marché afin d’être compétitif”.

    Source : web.developpez.com

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    A mon avis ca va être dur à changer tout ca, quand tu vois que certaines écoles sont équipées full Apple des le plus jeune age

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    C’est pour aujourd’hui.

    Le 24 septembre, La Quadrature du Net déposera une plainte collective contre le ministère de l’intérieur et contre sa “Technopolice”.

    La Quadrature du Net attaquera devant la CNIL le ministère de l’Intérieur et ses « quatre piliers de la Technopolice ». L’association, spécialiste en matière de défense des libertés dans l’univers du numérique, appelle quiconque le souhaiterait à les mandater dans le cadre de cette plainte collective.

    Créée en 2008, La Quadrature du Net se présente elle-même comme étant une association qui « promeut et défend les libertés fondamentales dans l’environnement numérique » et qui « lutte contre la censure et la surveillance, que celles-ci viennent des États ou des entreprises privées ».

    Plusieurs fois dans les colonnes de FranceSoir, nous nous sommes appuyés sur l’excellent travail proposé par cette association. Notamment dans le cadre d’un large dossier qui traitait de la loi sécurité globale et du virage liberticide qu’elle proposait.

    Composée de profils divers et variés, La Quadrature du Net s’appuie principalement sur une communauté de membres bénévoles. Concernant son financement, l’association dit compter « à 78% » sur les « nombreux dons individuels de citoyens » qui lui permettent d’assurer son indépendance.

    En presque 15 ans, l’association est devenue un véritable bastion de la défense des libertés dans le domaine du numérique en France. On ne compte plus ses saisines du Conseil constitutionnel, ses articles dénonçant les reculs de liberté, comme lors de l’adoption du passe sanitaire, ou encore ses actions, parfois collectives, telle que celle actuellement menée contre la Technopolice.

    Qu’est-ce que la Technopolice et quels en sont les piliers ?

    La Technopolice est un terme employé par La Quadrature du Net pour définir la manière avec laquelle l’univers technologique est utilisé par la police afin de surveiller la population.

    L’association différencie quatre piliers au sein de cette Technopolice : « Le fichage, les caméras de vidéosurveillance, la reconnaissance faciale et la vidéosurveillance algorithmique (VSA) ». Des piliers que La Quadrature du Net développe et détaille rigoureusement sur son site Internet.

    Le fichage, principalement alimenté par les fichiers TAJ et TES (fichiers du Traitement des Antécédents Judiciaires et des Titres Électroniques Sécurisés), sont qualifiés par l’association de fichier de « surveillance massive et illégale », pour le premier, et « de prémices à la reconnaissance faciale de masse », pour le second.

    La vidéosurveillance est quant à elle dénoncée par La Quadrature du net comme étant davantage un enjeu de contrôle et de surveillance pour le pouvoir, qu’une démarche réellement sécuritaire, tant ses résultats sont particulièrement faibles en matière de lutte contre la délinquance. En ce sens, l’association s’interroge : « Comment a-t-on pu arriver en 2022 à cette expansion insensée des caméras de vidéosurveillance, et ce, jusqu’aux territoires les moins densément peuplés pour lutter, entre autres, contre « le dépôt d’ordure sauvage » ? Comment expliquer qu’il existe, au bas mot, 1 million de caméras surveillant l’espace public si elles ne sont pas efficaces pour veiller à la sécurité des habitants et habitantes des villes et lutter contre ce qui est appelé “délinquance” ? ».

    La reconnaissance faciale, elle, « est déjà déployée en France » et est, selon l’association, «* utilisée depuis 2012, sans encadrement légal, (…) plus de 1 600 fois par jour par la police, mais aussi par les services des renseignements* ».

    Une technologie vue d’un très mauvais œil par La Quadrature du Net qui doute clairement des intentions se cachant derrière son déploiement : « Comme si la surveillance biométrique de masse pouvait être autre chose qu’un outil de contrôle autoritaire mettant fin à l’anonymat de nos déplacements dans l’espace public ».

    Enfin, la vidéosurveillance algorithmique, est définie par La Quadrature du net comme étant l’ajout «* d’une couche d’algorithme aux caméras de vidéosurveillance dites « classiques ». Et ce, dans le but de rendre automatique l’analyse des images captées par caméras, jusqu’à présent réalisée par des humains, des opérateurs vidéo au sein de centres de supervision urbains (CSU) »*.

    En résumé, il s’agit là de confier à une intelligence artificielle la gestion des données captées par la vidéosurveillance, de telle sorte à ce qu’elle les analyse avec pour objectif d’automatiser la détection d’infractions. Une nouvelle forme de surveillance technologique face à laquelle il est particulièrement important de s’opposer selon l’association.

    La Quadrature du Net ponctue son plaidoyer concernant ces 4 piliers en rappelant qu’à son sens «* tous ces outils technopoliciers ne participent pas à améliorer notre sécurité. Ils ne font qu’augmenter la surveillance et la répression sans nous octroyer plus de libertés dans nos rues, au contraire* ».

    Environ 13 500 personnes ont mandaté l’association pour attaquer l’État

    La Quadrature du Net appelle donc quiconque le souhaiterait à rejoindre, d’ici demain à 21h 30, les 13 450 mandataires qui les accompagnent déjà dans leur action collective face au ministère de l’Intérieur. Cette plainte sera ensuite déposée lors du festival Technopolice qui a ouvert ses portes ce jeudi à Marseille. Au programme de l’évènement : projections, discussions et concert autour de cette surveillance massive qui inquiète de plus en plus par sa rapidité d’expansion.

    Cette Technopolice se caractérise également par la discrétion qui entoure habituellement sa mise en application. Comme lorsque nous vous faisions état dans FranceSoir, en décembre 2020 lors d’une manifestation contre la loi sécurité globale, de la présence d’un « étrange » fourgon de gendarmerie doté de caméras à reconnaissance faciale, et dont la fonction et les capacités technologiques restaient encore méconnues.

    Il s’agissait d’une fourgonnette du CNOEIL, la Cellule nationale d’observation et d’exploitation de l’imagerie légale, qui «* armée par des gendarmes spécialement formés, dispose de stations sur véhicules, équipées de systèmes de prises de vues et d’identification, exploitables immédiatement par des moyens de transmissions complémentaires.* ».

    Un fourgon, qui selon Maxime Sirvins, journaliste fondateur de Maintiendelordre.fr, possède « un mât permettant une prise de vue à 7 m de haut pour une vision jusqu’à 200 m pour identifier les auteurs d’infractions en manifestation ».

    Cette surveillance généralisée, qui envahit notre espace public, aussi bien urbain que rural, et qui est non consentie par une population en très grande majorité ignorante sur le sujet, pose de véritables questions politiques et philosophiques quant à l’orientation que nous souhaitons collectivement, et donc démocratiquement, donner à notre société. Il est à déplorer qu’avant d’être légalisée, une telle révolution en matière de surveillance ne fasse l’objet d’aucun débat sérieux entre les pouvoirs publics et la société civile.

    Cette plainte collective que s’apprête à déposer La Quadrature du Net auprès de la CNIL en est d’ailleurs la meilleure preuve.

    Source

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    Depuis plus de 20 ans, l’ordinateur quantique fait fantasmer. Longtemps théoriques, ses promesses semblent avoir franchi un cap en 2019, quand Google a prouvé que son processeur Sycamore était capable de réaliser une tâche aussi complexe qu’inutile plus vite qu’un superordinateur. Depuis, IBM a rejoint le club de la « suprématie quantique », mais les ordinateurs traditionnels sont revenus dans la partie, comme l’a prouvé une équipe chinoise en août.

    Comment fonctionnent ces machines du futur, qui repoussent les limites de la physique et de la chimie ? Et surtout à quoi pourront-elles servir ? 20 Minutes s’est rendu sur le campus « quantique » de Google, à Santa Barbara, et a rencontré son ingénieur en chef, Erik Lucero.

    Optimiste sur le potentiel de cette technologie qui pourrait permettre de réaliser des simulations planétaires pour s’attaquer au changement climatique, ou permettre de découvrir de nouveaux médicaments, le chercheur reste prudent : le secteur en est encore à un stade analogique équivalent à celui des ordinateurs à tubes à vide des années 1940, et les défis technologiques sont immenses. Lucero insiste : « L’ordinateur quantique ne va pas remplacer le smartphone ou le PC. Il sera complémentaire des technologies existantes. »

    Source et plus: https://www.20minutes.fr/high-tech/4002188-20220924-rencontre-ordinateur-quantique-google

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    @RussianFighter a dit dans Il est prouvé que Facebook a un impact négatif sur la santé mentale :

    Cool, je suis sain d’esprit alors :clin_oeil:

    Alors on est deux…
    text alternatif

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    Comme autres logiciels open source sympa, il existe également :

    FreeFileSync, un logiciel de sauvegarde pour synchroniser ses fichiers et dossiers : https://freefilesync.org/ SumatraPDF, pour lire des eBooks dans divers formats (PDF, eBook (epub, mobi), comic book (cbz/cbr), DjVu, XPS, CHM, image) : https://www.sumatrapdfreader.org/free-pdf-reader Kiwix, pour avoir accès à Wikipédia, Wiktionnaire ou autres ressources pédagogiques de son choix en mode hors-ligne : https://www.kiwix.org/fr/
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    De plus en plus d’entreprises adhèrent à cette charte qui leur impose de récolter le moins de données possible et de chiffrer les messages. Le but est que d’autres acteurs de la tech s’y associent.

    Actuellement voici les signataires de cette charte:

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    La charte:

    Nous, soussignés, nous engageons à reconstruire Internet afin qu’il revient aux idéaux énoncés par ses fondateurs : une plate-forme démocratique conçue pour faciliter le libre échange d’informations, la communication ouverte et la vie privée de l’individu. Ce faisant, nous croyons qu’il peut servir les besoins des personnes, pas seulement des entreprises. Cet Internet devrait être privé par défaut et donner à chaque utilisateur le choix de qui a accès à quoi - ainsi que contrôle sur — leurs données personnelles. Un Internet comme celui-ci serait ouvert et accessible à tous, soutenir les valeurs démocratiques, protéger les droits fondamentaux au respect de la vie privée et assurer le libre accès à l’information.

    Cet Internet soutiendrait la croissance de modèles commerciaux éthiques, mais il exigerait d’abord que les entreprises se tiennent à un niveau plus élevé de conduite qui donne la priorité aux utilisateurs. En donnant aux gens le contrôle de leur vie personnelle informations, nous pouvons empêcher les entreprises et les gouvernements d’espionner, marchandisation et tentative de manipulation des utilisateurs venus caractérisent Internet aujourd’hui.

    Pour construire un Internet où la confidentialité est la valeur par défaut, nous pensons que toutes les organisations opérant en ligne doivent adhérer aux cinq des principes suivants:

    L’Internet, avant tout, devrait être conçu pour servir les gens. Cela signifie le que respect les droits humains fondamentaux, est accessible à tous et permet la libre circulation de l’information. Les entreprises doivent fonctionner de telle manière que les besoins des utilisateurs soient toujours la priorité.

    Les organisations ne doivent collecter que les données nécessaires pour assurer leur pérennité. Leur service et prévenir les abus. Ils devraient recevoir le consentement des personnes collecter de telles données. Les gens devraient également être en mesure de trouver facilement une explication des données qui seront collectées, de ce qui en sera fait, où elles seront stockées, combien de temps elles seront stockées et ce qu’ils peuvent faire pour les faire supprimer.

    Les données des personnes doivent être cryptées en toute sécurité en transit et au repos dans la mesure du possible pour empêcher la surveillance de masse et réduire les dommages, piratage et fuite de données.

    Les organisations en ligne doivent être transparentes quant à leur identité et Logiciel. Ils doivent indiquer clairement qui compose leur équipe de direction, où ils ont leur siège social et de quelle juridiction ils relèvent en dessous de. Leur logiciel doit être open source dans la mesure du possible et ouvert aux audits de la communauté de la sécurité.

    Les services Web devraient être interopérables dans la mesure où l’interopérabilité ne nécessitent pas de collecte de données inutiles ou ne compromettent pas le cryptage sécurisé. Cela empêche la création de jardins clos et crée un espace ouvert, un espace concurrentiel propice à l’innovation.

    C’est l’internet que nous méritons. C’est l’internet que nous combattons pour. Elle est à notre portée, il suffit d’avoir l’audace de la saisir.

    https://privacy-pledge.com/

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    @Violence en trois tomes écrits par mon avatar! 😉

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    @Pollux

    Une batterie externe devrait faire l 'affaire sinon ça va être galère, pas motivé :haha:

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    @7cf148fd Je ne pense pas que le salaire soit un critère pertinent pour qu’un employé ne se sentent pas pris pour un robot dans son taff, mais plutôt le temps de travail et le temps pour soi, ainsi que la pénibilité au travail.

    En tout cas, c’est bien pour toi que tu te sentes bien et épanoui dans ton travail, mais tu ne me feras pas croire que tu représentes la majorité des travailleurs chinois (ou français, d’ailleurs !).

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    Oui il est vrai que le nouvelle gestion est pas mal du tout…

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    Meuh non…
    En même temps, la catégorie est bien remplie😙