Sidérants, méprisants, injurieux et sans filtres les propos qu’a tenu Trump hier à l’égard du courageux et vaillant Zelensky !
Et pas que, pour l’ensemble des nations démocratiques aussi. Sonnées et désorientées qui se trifouillent et se divisent encore sur la façon de réagir (démocraties herbivores vs. dictatures carnivores). Ce coup de poignard dans le dos est un retournement de situation brutal inattendu ! J’en ai eu la chair de poulpe et la gerbouille visqueuse dégoulinante…
En gros, Donald a publiquement tombé le masque sans prendre de gants en s’auto-proclamant Empereur du Monde comme d’autres avant lui (« Ces » « Nap » ou « Hit ») et bientôt Prix Nobel de la Paix qu’il convoite comme trophée de chasse.
Porte-voix de son alter-ego d’opportunité, Vladimir est resté en relatif retrait stratégique mais il doit bien loler-ptdr-mdrrr en se paluchant la nouille dans le bunker sous sa datcha en visio-conférence avec VPN ultra sécurisé.
Ah oui, Do’ avait promis que le massacre serait résolu rapidement en un claquement de doigts. C’est vrai. Hors sans être naïf, tout était méticuleusement programmé d’avance entre complices prédateurs avant son élection.
Paradoxalement, deux clans ennemis hier en guerre froide, se sont alliés soudainement par opportunisme dans un tango à deux, et eux seuls, sans l’Ukraine pourtant victime d’une invasion barbare qui renvoie à l’âge des cavernes entre tribus primitives ou au moyen-âge entre fiefs et seigneuries. Et sans les Etats Européens pacifiques voisins et leur satanée OTAN trouble-invasion.
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L’un cynique, cupide et marchand jusqu’au bout des cheveux pour s’approprier les terres rares sans limite de concession temporelle sous prétexte de récupérer ses $ militaires investis en Ukraine par Sleepy Jo . Le $ passe avant la Sainte Bible hypocrite sur lequel il a prêté serment.
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L’autre cynique aussi, glacial, menteur, poker face, psychopathe assassin nostalgique de reconquête de ses terres perdues d’antan.
Au secours, Freud revient…
Je n’aime pas prononcer le poncif « c’est historique », mais nous assistons à un retournement dont nous allons morfler grave dans les années à venir.
La messe est dite selon le binôme de mâles alpha Trumptine :
« Zelinsky, c’est fini pour toi, t’as perdu, capitule ! Kiev doit se rendre. Laisse ton peuple se faire dévorer par l’aigle pygargue et par l’ours. »
La suite reste à écrire… Quels seront les Etats suivants qui se laisseront grignoter par ce tandem infernal (sauf “accident” qui les mettra hors de nuire) ?