Logiciel & Software

285 Sujets 2.8k Messages
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    @Ashura a dit dans [Windows Apps] VirtualGHOST : détectez les machines virtuelles cachées par les attaquants sur VMware ESXi :

    Pas vraiment pour le particulier, mais bel outil qui peut servir

    Ben non, c’est hyper utile et je sais qu’il y a aussi des professionnels qui nous lisent

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    Je te confirme @Raccoon, c’est une super appli, mais dangereuse aussi… Hier, alors que j’étais dans une réunion (chiante), je me suis perdu dans l’arrière pays du nord de l’Ardèche et j’ai bien mis 1h à retrouver mon chemin pour sortir du téléphone :mouhaha:

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    Heu 2022 la dernière maj github pour la version stable, sinon faut passer en beta

  • Winamp va devenir open source

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    @Violence celui dont je parlais, c’est ce genre, certains lecteurs l’imitent avec plus ou moins de réussite.

    text alternatif

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    Qui la tester ? Ça ralenti pas trop le système ?

  • [Mac Apps] MailTrackerBlocker

    Déplacé
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    @Violence @Ashura Merci à vous deux, je ne connaissait pas, je vais donc tester.

    ba3846ce-6c48-495b-bd11-8ee6ba2a289c-Live Long & Prosper.jpg 

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    Cela dit je suis sur MacOS et question “lignes plus en phase avec les canons esthétiques d’Apple” je n’ai ressenti strictement aucune différence.

  • [Aide] Logiciel ping et graphiques

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    Après 4 jours de test je suis plus que satisfait du soft proposé par @Aerya. Le soft est ultra simple à installer, ultra simple à configurer, il va directement à l’essentiel tout en étant gratuit.
    Il fait exactement ce que je veux, 20 secondes entre 2 pings sont largement suffisantes, pouvoir monitorer plusieurs services est un plus carrément utile et l’historique des événements complète parfaitement la visualisation par graphiques.
    Merci pour la découverte, je pense qu’il va souvent me servir.

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    @Violence On y est bien, c’est tout doux, et pour ne pas totalement dépayser les nouveaux il y a quelques petits bugs tout mignons.

    Mises à jours, même pas peur. :ahah:

  • [Aide] Télécharger en mkv les videos amazon et/ou netflix

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    @brusezot t’inquiète pas tes pas le seul, beaucoup de rippers sont en galère en ce moment

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    Vous êtes-vous déjà demandé ce que vos applications faisaient dans votre dos ? Quelles données elles envoyaient sur Internet à votre insu ? Je suis sûr que oui !

    C’est pourquoi, si vous êtes soucieux de votre confidentialité et de la sécurité de vos informations, il est temps de faire connaissance avec OpenSnitch, le pare-feu interactif qui va vous permettre de mieux sécuriser et gérer les connexions sur votre ordinateur Linux.

    Inspiré du célèbre Little Snitch sur macOS, OpenSnitch agit comme un garde-fou en vous alertant chaque fois qu’un programme tente d’établir une connexion sortante. Comme ça, plus besoin de laisser les applications communiquer sans votre consentement, vous avez le contrôle !

    OpenSnitch utilise évidemment iptables couplé à NFQUEUE et ftrace présent par défaut dans le noyau pour détecter et alerter l’utilisateur d’un poste client Linux que quelque chose ne tourne pas rond. Top pour détecter les trucs louches comme l’exploitation d’une faille ou une fuite de données.

    L’interface d’OpenSnitch est simple à prendre en main. Lorsqu’une application essaie d’accéder à Internet, une pop-up apparaît, vous donnant toutes les informations nécessaires pour prendre votre décision : le nom de l’application, l’adresse IP et le port de destination, et même le chemin de l’exécutable. Vous pouvez alors choisir d’autoriser ou de bloquer la connexion, de manière ponctuelle ou permanente.

    OpenSnitch ne se contente pas de filtrer les connexions puisqu’il vous permet également de garder un œil sur l’activité réseau de votre système. Via son interface graphique, vous pourrez consulter l’historique des connexions, voir quelles applications communiquent le plus, et même exporter les données pour une analyse plus poussée.

    Pour l’installer sous Ubuntu, récupérez les .deb ici et lancez la commande :

    sudo apt install ./opensnitch*.deb ./python3-opensnitch-ui*.deb

    Et pour le lancer :

    opensnitch-ui

    OpenSnitch est disponible dans les dépôts de la plupart des distributions Linux, et son installation se fait en quelques commandes. Vous pouvez même l’essayer dans une machine virtuelle pour vous faire une idée avant de l’adopter sur votre système principal.

    –> Plus d’infos ici !

    – Source :

    https://github.com/evilsocket/opensnitch

    https://korben.info/opensnitch-clone-firewall-little-snitch-gnulinux.html

  • [Aide] Logiciels de telechargement pour plateforme streaming

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    Il y a anyfab aussi mais je crois qu’ils sont tous touchés par les DRM

    Seul moyen obtenir les vrais soft de webdl avec clés L1

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    Pourquoi ils suppriment un truc bien, font chier

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    Merci je vais tester pour remplacer Google Authenticator.

    Vu que de plus en plus de site demande la double authentification :ahah:

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    @duJambon j’avais bien compris, dsl si je me suis mal exprimé, je disais juste pas de soucis pour ne pas mentionner l’URL du site:)

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    Étant dessus depuis la bêta ils m’ont fait un prix à 6€ pour le tout, 15 aliases, 580go de cloud et le vpn. Ça fonctionne bien et au moins les documents sont safe

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    Steuplait steuplait steuplait !

    Avec son application et sa « Else academy », Else veut apaiser les relations parents-enfants tout en aidant à réduire le temps d’écran. Next s’est entretenu avec son président Bertrand de la Tour d’Auvergne.

    Aider parents et enfants à discuter sereinement de leurs usages numériques… et à réduire le temps d’écran (des plus jeunes pour commencer), telle est la mission que s’est fixée Else, une application dont la première version est sortie fin décembre 2023.

    Venu du monde de la mobilité, avec plusieurs projets entrepreneuriaux à son actif, Bertrand de la Tour d’Auvergne explique à Next s’être lancé dans le projet après qu’un ami proche lui a raconté comment ses enfants, accaparés par les écrans, voyaient leurs résultats scolaires chuter de manière spectaculaire. Ensemble, les deux hommes creusent et constatent que le problème est généralisé : selon l’association e-enfance, 67 % des enfants de 8 à 10 ans et 86 % de 8-18 ans sont inscrits sur les réseaux sociaux.

    Avec les trois autres membres de Kappa Development, la société qui soutient le projet Else, il passe « 15 mois à interroger des familles, des enfants jusqu’aux grand-parents, des spécialistes, des psychiatres, des directions d’école, etc… ».

    Temps d’écran, conflits et cyberharcèlement

    En parallèle, ils lisent « des études scientifiques et des livres dans tous les sens », parmi lesquels cette revue de littérature qui constate de plus nombreux problèmes de santé chez les enfants et adolescents les plus longuement exposés aux écrans ; cette étude qui relève une corrélation, mais pas de causalité évidente, entre l’exposition des 9-10 ans aux écrans et de moins bons résultats scolaires ; ou encore ce rapport produit par la société du médiatique consultant Martin Blachier et qui constate une utilisation légèrement supérieure des réseaux sociaux par les filles de 15-24 ans que les garçons, ainsi que des symptômes dépressifs plus élevés chez les premières.

    Auprès de Next, Bertrand de la Tour d’Auvergne cite aussi le pédopsychiatre Boris Cyrulnik, qui

    les écrans avant trois ans, ou l’ouvrage La Fabrique du Crétin Digital, dans lequel le neuroscientifique Michel Desmurget appelle à la prise en compte des effets du numérique sur la santé mentale des plus jeunes, mais dont certaines affirmations sont régulièrement débattues. La maîtresse de conférence en psychologie cognitive Séverine Erhel explique par exemple que le problème n’est pas tant le temps d’écran que l’usage qui en est fait.

    Chez Else et Kappa Development, « on n’a rien contre les écrans, on croit seulement que, comme le reste, ça s’apprend », souligne Bertrand de la Tour d’Auvergne. Il compare l’offre du premier smartphone à celui du premier vélo : « Le jour où vous équipez votre enfant, vous ne le laissez par partir comme ça : il faut lui mettre des roulettes, le tenir par les épaules, et petit à petit le laisser rouler. » Or, ce que les travaux de la jeune pousse montrent, c’est que le plus souvent, la question numérique est source de conflits : « Dans nos études avec des familles, les mères disent que c’est la guerre, que c’est l’enfer. »

    Et de souligner cette autre problématique liée aux usages numériques : un quart des familles interrogées par e-enfance ont été confrontées au moins une fois à du cyber-harcèlement. « Et le problème des enfants, c’est qu’ils ne se confient pas, ni aux parents, ni aux enseignants, ils se renferment et se sentent coupables. C’est un problème un peu similaire à celui des viols, risque même l’entrepreneur : c’est le même type de honte, qui fait que les victimes ne parlent pas. »

    Gestion du temps et contenu éducatif

    Pour répondre à ces multiples défis, Else propose donc une application de gestion simplifiée du temps d’écran de l’enfant – les outils proposés directement par les constructeurs étant, selon Bertrand de la Tour d’Auvergne, « souvent trop compliqués pour que les familles les mettent en œuvre » – selon trois types d’usages : réseaux sociaux, jeux et divertissements.

    La spécificité d’Else se trouve plutôt dans ses contenus éducatifs. Ceux-ci visent aussi bien les mineurs, mettant en rapport leur temps passé devant les écrans avec les quelque 20h de temps libres dont ils disposent chaque semaine, que les parents, pour les aider à créer un espace de discussion apaisé.

    Les contenus de cette « else academy », explique Bertrand de la Tour d’Auvergne, ont été écrits par des pédiatres, des spécialistes de sciences cognitives, des psychanalystes « comme [le psychanalyste, ndlr] Michael Stora », et ont vocation à être « de plus en plus poussés ». Else propose, enfin, un bouton d’appel direct vers le 3018, le numéro pour les victimes de cyberharcèlement et leurs proches, animé par les équipes de l’association e-enfance.

    Des discussions et des pauses pour favoriser la déconnexion

    En pratique, les constructeurs de l’application prévoient qu’enfants et parents s’assoient ensemble pour discuter de leurs usages numériques et se mettre d’accord sur le temps d’écran accordé. « Ce qu’on propose, c’est une solution qualitative plutôt que centrée sur la quantité de temps d’écran : une application qui soit consensuelle, où parents et enfants discutent et établissent des règles ensemble ».

    Quelle que soit la temporalité finalement arrêtée, Else enverra des notifications à l’enfant au fil de son temps d’écran, et proposera une « pause else » de dix minutes toutes les trente minutes – même si, dans nos tests, elle a plutôt semblé se déclencher au bout de vingt. La raison ? « Les études montrent qu’au bout de 2 minutes 39, les enfants passent à autre chose. Que ce soit pour aller faire du piano, du foot, du vélo, aider maman à mettre le couvert… Ils ne reviennent pas. »

    La première version d’Else n’est disponible que sous iOS, « parce qu’il fallait commencer quelque part et que nos études montrent que les possesseurs de produits Apple étaient un peu plus sensibles à ces questions ». Bertrand de la Tour d’Auvergne explique aussi avoir commencé ainsi par le plus difficile, et prévoit un lancement plus simple pour les applications mixtes (un parent ou enfant sous iOS, l’autre sous Android) et Android, qu’il prévoit « à la fin du printemps au plus tard », « selon nos financements » — la société est soutenue par des fonds et des business angels.

    Pour le moment, l’application ne permet pas de fournir une rallonge de temps en cas de négociations ardues. « Ça n’est pas forcément le but », pointe Bertrand de la Tour d’Auvergne, qui place Else en faux de ses concurrents qui « proposent du temps d’écran en guise de récompense. Plutôt que d’obtenir une autorisation de passer plus de temps devant un écran, pourquoi ne pas aller jouer au tennis ou à autre chose ? »

    Futures fonctionnalités et visées internationales

    Bertrand de la Tour d’Auvergne pointe aussi que ces questions de déconnexion ont une dimension sociale : « plus le milieu est défavorisé, plus le problème est intense, car l’écran agit comme une nounou gratuite ». De fait, une étude menée en 2022 sur le temps d’écran des plus petits (2 à 5 ans) de la cohorte Elfe (Étude Longitudinale française depuis l’Enfance) montre de réelles disparités de temps d’écran selon le niveau d’étude de la mère et le nombre de grands-parents d’origine immigrée.

    À 10 euros par mois pour un enfant, 15 pour deux et 18 pour trois, le coût d’accès à Else n’est pas pour autant spécialement réduit. Mais il est, à en croire son président, justifié par les études de marché réalisées par Kappa Development. Actuellement, Else revendique « un gros millier » de souscripteurs, son président se déclarant en phase de « soft launch sur la première version de l’application ». Il en vise 200 000 en un an.

    Outre les adaptations aux autres OS qui lui permettront de toucher un plus grand nombre de personnes, Else travaille à de nouvelles versions de l’application, avec des fonctionnalités plus poussées. « On réfléchit aussi à un programme d’intelligence artificielle qui pourrait réagir en temps réel à des interactions inappropriées de l’enfant sur son appareil, explique ainsi l’entrepreneur. Que ce soit face à un vieux monsieur qui demande une photo, ou si l’enfant lui-même s’apprête à envoyer une énorme insulte, l’application pourrait lui demande si le message est bien opportun. »

    Vu les retours des parents, Else songe aussi à développer, plus tard, du contenu éducatif à destination des adultes. Dans sa roadmap, l’équipe a aussi inscrit un déploiement vers l’international. Dans le viseur, pour commencer : une implantation, en 2025, dans trois villes des États-Unis.

    Source : next.ink

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    J’ai pensé à toi donc je l’ai noté @Aerya
    Haha

    D’ailleurs, je vais sûrement l’autohebergé sur mon VPS mais sans Docker histoire de faire une procédure

  • [Aide] AutoCAD Architecture

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    @michmich a dit dans AutoCAD Architecture :

    Si tu veux pas raquer, ce que je comprends aisément vu les prix pratiqués, pourquoi ne pas passer sur une version crackée, pour peu que tu ne transmettes que les résultats “tirages” du fichier de travail et non ce dernier, qui chargé sur un autre pc équipé d’un Autocad “légal” risque de sonner le tocsin, et encore si ça se trouve ça passe crème.

    Je sais que Dassaut, notamment dans son produit SolidWorks, intègre dans les fichiers de ce derniers des infos concernant le poste sur lequel a tournée le logiciel (nom d’hôte, domaine, IP locale, IP publique, etc) qui sont transmises à Dassault sitôt que le fichier est ouvert sur un poste connecté à internet.

    Je ne crois pas qu’Autodesk fasse pareil, mais méfiance quand même, car l’amende est bien souvent proportionnelle au CA de l’entreprise qui a fraudée.

  • [Aide] Dolby Vision

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    @duJambon super votre guide, ça rend les choses plus claires sur toutes ces technos. merci