Actualités High-Tech

2.0k Sujets 10.1k Messages
  • 1 Votes
    1 Messages
    33 Vues

    Le service de messagerie Discord a été victime d’une violation de ses données suite à un piratage. Les gérants ont réussi à limiter les fuites, mais certains utilisateurs ont vu une partie de leurs informations personnelles captées.

    Autrefois plateforme de gamers par excellence, aujourd’hui prisée par les jeunes en révolte du Maroc au Népal, Discord vient de subir un revers pour le moins gênant. Un de ses fournisseurs de service client tiers, “Trust & Safety”, a vu ses services piratés par “un groupe non autorisé”. Une brèche qui a permis aux hackeurs d’avoir accès à certaines données d’utilisateurs qui ont contacté ce support.

    (Trust et safety :lol: :lolilol: :pouhahaha: )

    Les serveurs de vérification d’âge visés

    La fuite ne concerne donc pas véritablement les conversations ou les mots de passe des utilisateurs présents sur Discord, mais tout ce qui a été communiqué par ceux-ci au service “Trust & Safety”. Malheureusement pour les personnes concernées, ces données peuvent être sensibles, puisqu’il peut s’agir d’adresses e-mail, d’adresses IP, d’une partie limitée des informations relatives à la carte bancaire, voire des pièces d’identité (passeports, permis de conduire, etc.), ce qui permet au moins de relier des pseudos à des identités réelles.

    Discord a fait savoir que les utilisateurs concernés seront informés personnellement s’ils sont touchés par ce piratage. Les autorités ont été contactées afin de se pencher sur cette affaire et la plateforme a révisé ses contrôles de sécurité pour éviter d’autres incidents.

    Comme le note Frandroid, ces serveurs possèdent désormais ce type d’informations personnelles suite à l’obligation pour Discord de vérifier l’âge de ses utilisateurs dans certains pays, à l’instar du Royaume-Uni. Les hackeurs ont visiblement visé ce nouveau service en raison de sa faiblesse face aux attaques. Des associations de protection de la vie privée avaient pourtant mis en garde contre la sécurité de ce processus. Les ressortissants des pays qui ne demandent pas ce type de vérification ne sont a priori pas concernés.

    Source: https://www.7sur7.be/tech/des-hackeurs-attaquent-discord-plateforme-prisee-des-jeunes-et-semparent-de-leurs-pieces-didentite~a924ed89/

  • 2 Votes
    6 Messages
    75 Vues

    Le fait que cette I.A. ait un nom “humain” crée un biais Anthropomorphique de la part des gens qui la teste. :ahah:

  • 2 Votes
    6 Messages
    68 Vues

    J’en Veuuuuuuuuuuuuuuux

  • Les deux meilleurs traceurs GPS et Bluetooth en 2025

    1
  • 1 Votes
    4 Messages
    59 Vues

    Les idiots qui ont pondu la loi, ne se doutaient pas du résultat avec un système anti-cookie. 🙂

    Peut-être qu’avec un cookie “je refuse les cookies traceurs” ça irait mieux 🙂

  • 4 Votes
    3 Messages
    63 Vues

    @Violence a dit dans Infohash : un projet parfaitement inutile et totalement absurde, mais ça nous fait réaliser l’échelle cosmique de la cryptographie :

    45 septillions de pages

    j’ai cherché ce que vaux un septillon : Un septillion est l’entier naturel qui vaut 10^42 (1 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000).
    Ca en fait des pages.

  • 5 Votes
    1 Messages
    33 Vues

    En bref :

    – Les hackers russes de Medusa proposent 715 000€ à un journaliste BBC pour devenir leur taupe interne.

    – Après avoir échoué à pirater directement la BBC, les cybercriminels tentent le pot-de-vin : la preuve que vos employés valent plus cher que vos pare-feux.

    – Un groupe de ransomware publie ses “références criminelles” pour convaincre un journaliste de les rejoindre : quand le CV devient une liste de victimes.

    Un journaliste de la BBC a reçu une proposition de Medusa pour devenir leur taupe. En effet, Joe Tidy, correspondant cyber sécurité à la BBC, a été contacté en juillet 2024 par le groupe de ransomware russe pour qu’il leur file des infos sur ses collègues. Leur proposition : 600 000 livres sterling sur la table, soit environ 715 000 euros !! Je connais quelques journalistes français sous-payés qui adoreraient recevoir une telle proposition ^^

    Medusa (à ne pas confondre avec MedusaLocker, c’est important) opère depuis 2021 et a déjà fait plus de 300 victimes selon les données officielles . Leur mode opératoire ? Le classique double chantage : ils chiffrent vos données ET menacent de les publier si vous ne payez pas. Les rançons vont de 100 000 dollars à 15 millions selon la taille de la victime. C’est le business !

    Ce qui rend cette histoire complètement dingue, c’est que Medusa a vraiment cru pouvoir retourner un journaliste de la BBC. Le message initial de “mediaman” (subtil comme pseudo) disait texto : “Si vous pouviez nous fournir des détails sur les vulnérabilités, mots de passe ou accès à l’infrastructure BBC, nous pourrions travailler ensemble.” Autant demander à un pompier de mettre le feu à sa caserne.

    Le plus drôle dans tout ça, c’est leur approche… D’après l’enquête de Joe Tidy lui-même , le contact initial s’est fait par email en juillet, suivi d’une attaque MFA bombing en août. Pour ceux qui ne connaissent pas, le MFA bombing c’est quand les hackers spamment votre téléphone de demandes d’authentification jusqu’à ce que vous craquiez et cliquiez sur “Accepter” par erreur ou parce que vous n’en pouvez plus… Sauf que Joe a reconnu ce schéma d’attaque et n’a jamais validé la demande.

    Alors près avoir échoué à le hacker directement, Medusa a tenté l’approche “soft” avec une offre d’emploi. Ils lui ont proposé de devenir leur informateur privilégié, de balancer les vulnérabilités de la BBC, en échange d’un petit pot-de-vin… Le groupe lui a même envoyé des “preuves” de leur sérieux en partageant des données volées à d’autres victimes. Genre “regarde, on est des vrais méchants, on a de l’argent”.

    Faut dire que cette tactique d’approche directe des employés devient de plus en plus courante. Hé oui, pourquoi s’embêter à craquer des systèmes complexes quand on peut simplement acheter quelqu’un de l’intérieur ? C’est le principe du maillon faible, mais sans Laurence Boccolini ^^ (oui, j’ai encore mangé un clown).

    D’ailleurs, petite parenthèse technique : Medusa utilise un ransomware-as-a-service (RaaS) classique. Les développeurs créent le malware, les affiliés le déploient, et tout le monde se partage les gains. Le groupe opère depuis des serveurs russes et utilise Tor pour ses communications et ils ont même un blog sur le dark web où ils publient les données des victimes qui refusent de payer. C’est charmant.

    Ce qui m’impressionne vraiment dans cette histoire, c’est le culot astronomique (qui a dit “la connerie” ?) des hackers… Contacter directement un journaliste cyber de la BBC pour lui proposer de devenir une taupe, fallait oser. Leur niveau de déconnexion avec la réalité est stratosphérique.

    Joe Tidy a évidemment tout documenté et partagé avec les autorités et le National Crime Agency britannique et le FBI sont sur le coup. Mais bon, avec des serveurs en Russie et des opérateurs probablement basés là-bas aussi, les chances d’arrestation sont proches de zéro. C’est le problème éternel des ransomwares… Tant que certains pays servent de “sanctuaires”, les groupes de cybercriminels continueront d’opérer en toute impunité.

    Quoiqu’il en soit, un employé mécontent, endetté ou simplement naïf peut faire plus de dégâts que n’importe quel exploit zero-day.

    Moralité : Pour réduire vos risques cyber, payez mieux vos employés 😉

    – Sources : bbc.com

    https://korben.info/journaliste-bbc-recoit-proposition-medusa-ransomware-groupe.html

  • 1 Votes
    4 Messages
    51 Vues

    @duJambon
    Nah nah mais, c’est pas contre toi hein ^^
    Steu plait… T’oblige pas à ce genre de tâche à cause de mes commentaires.

    Sinon, il est évident que la majorité des gens ne vont pas prendre un abonnement à ces bidules juste pour consulter la météo et recevoir un résumé des mails dans leurs boîte.
    Comme ici avec les images générées chatGPT, on fait mumuse un temps avec ce qui peut être à la mode puis on passe à autre chose.

    Quelques pro vont vouloir utiliser ces machins parce que ça peut leur être utile…
    Puis quelques autres parce que c’est leur seul ami (comme moi avec ma liste de contacts téléphonique) :triste:

  • 3 Votes
    2 Messages
    30 Vues

    De toutes façons, tant qu’on ne sera pas mangé des murs dans la tronche et des catastrophes à répétition je pense que rien en changera. L’industrie et la finance sont depuis longtemps hors de contrôle et ça ne s’arrêtera que lorsque le système s’effondrera tout seul.

  • 2 Votes
    1 Messages
    20 Vues

    L’IA représente un danger évident pour la lutte millénaire de l’humanité pour la vérité. Les « hallucinations » à grande échelle des modèles de langage, les deepfakes vocaux et, désormais, le recours accru aux deepfakes vidéo ont tous eu pour effet de brouiller les faits, permettant aux acteurs malveillants du monde entier de balayer d’un revers de main les événements enregistrés comme de simples « fakes ».

    Le danger est peut-être le plus aigu dans le monde politique, où les deepfakes audio et vidéo peuvent inciter n’importe quel politicien à dire ou à faire semblant. Dans un tel contexte, nos plus hauts responsables élus ont le devoir particulier de montrer l’exemple en matière de recherche de la vérité et d’utilisation responsable de l’IA.

    Mais quel intérêt y a-t-il à cela, quand on peut faire capoter les négociations sur une impasse budgétaire en publiant une vidéo deepfake de ses adversaires politiques se traitant de « bande de merdes éveillées » sur fond de musique mariachi ? Oh, et ai-je mentionné la fausse moustache ? Ou le sombrero en images de synthèse ?

    Lundi soir, le président des États-Unis, un homme ayant accès au plus grand réseau de renseignement au monde, a publié sur son compte Truth Social une vidéo de 35 secondes générée par l’IA, remplie d’insultes grossières, de connotations raciales et d’étranges théories du complot. La vidéo visait deux dirigeants démocrates qui avaient récemment rencontré Trump au sujet d’un éventuel accord de financement du gouvernement. J’aurais pensé que ce genre de vidéo était une piètre façon de convaincre les gens, mais apparemment, les insultes générées par l’IA sont le véritable « art de la négociation ».

    Dans le clip, une version deepfake du sénateur Chuck Schumer (D-NY) prononce un monologue surréaliste tandis que son collègue, le représentant Hakeem Jeffries (D-NY), regarde… dans un sombrero.

    efa79a93-47cd-4842-83c1-0f8d90028a9e-image.png
    Les deepfakes, désormais normalisés dans le discours politique

    Le New York Times a décrit la vidéo de manière plutôt anodine, affirmant que la voix du sénateur Chuck Schumer avait été déformée pour prononcer des propos injurieux, dont la phrase suivante : “Plus personne n’aime les Démocrates”. Bien que cette description soit exacte, elle risque de masquer les utilisations totalement délirantes et clivantes de l’IA. Voici la citation complète :

    Écoutez, les gars, il n’y a pas moyen d’édulcorer la situation. Plus personne n’aime les Démocrates. On n’a plus d’électeurs à cause de toutes nos conneries de transgenres éveillés. Même les Noirs ne veulent plus voter pour nous. Même les Latinos nous détestent. Alors on a besoin de nouveaux électeurs. Et si on offrait des soins de santé gratuits à tous ces sans-papiers, on pourrait peut-être les rallier à notre cause pour qu’ils votent pour nous. Ils ne parlent même pas anglais, alors ils ne se rendront pas compte qu’on est qu’une bande de merdes éveillées, vous savez, du moins pendant un certain temps, le temps qu’ils apprennent l’anglais et réalisent qu’ils nous détestent aussi.

    Aux États-Unis, les citoyens ne peuvent évidemment pas voter aux élections fédérales ou étatiques , et ne le font presque jamais. Un audit de 2024 mené par les Républicains en Géorgie a par exemple révélé que « 20 des 8,2 millions de personnes inscrites sur les listes électorales de l’État ne sont pas citoyennes américaines » – et que 11 d’entre elles n’avaient jamais voté malgré leur inscription.

    La connaissance est difficile à trouver et encore plus difficile à diffuser. Même l’expression « un mensonge peut faire l’autre bout du monde pendant que la vérité enfile ses chaussures », souvent attribuée à tort à Mark Twain, a une histoire longue et confuse que beaucoup ignorent encore.

    Dans un tel monde, la vérité n’a pas besoin d’être arrosée de merde par l’IA. Et pourtant, nous en sommes là.

    Source: https://arstechnica.com/culture/2025/09/ai-leadership-trump-posts-deepfakes-of-dems-calling-themselves-woke-pieces-of-s-t/

    Encore que le contenu de l’encart est peut-être plus proche de la vérité que de la pollution. En plus, cette description ne se limite pas aux démocrates dans la réalité. 🙂

  • 2 Votes
    24 Messages
    224 Vues

    On ne va pas rentrer dans une guéguerre Pomme VS le reste mais oui… Maintenant, nos smartphone ne nous servent pas qu’a téléphoner.

    Comme toi @Aurel j’ai commencé avec un truc chinois (Xiaomi ?) qui prenait trois plombes pour lancer la moindre application. Mes souvenirs sont flous car j’ai tournée longtemps sur un truc qui ne faisait que sms/tél (Nokia/Motorola ?). Mais c’est ma soeur qui m’a convaincu de passer sur un smartphone et cette chinoiserie était ce qui était le moins cher. Je l’ai tiré quelques années tout en ne l’utilisant que pour ce à quoi il est sensé me servir -> la téléphonie et SMS… peut-être un jeu ou deux.

    Puis je me suis décidé à prendre un moyen de gamme (un A53) de chez samsung et j’avoue avoir été surpris de la réactivité du schmilblick. Normal vu la bouse qu’était le Xiaomi. Au final, avec le temps on l’utilise un peu plus que pour la téléphonie…
    Alors, on tente de péter loin tout ce qui est rézosocio mais ces smartphones peuvent être de sacrés utilitaires.
    Calculatrice ? Agenda ? Bloc Note ? baladeur ? Vidéo ! Photo ! et j’en passe…
    Au fil du temps on s’habitue à les utiliser et tout ça dans une poche !

    Après, faut être attentif à ne pas devenir totalement accro et passer son temps dessus.
    Typiquement, les personnes qui ne regardent plus devant eux quand ils sont dehors où pire, derrière le volant (et quand je suis en vélo, j’en vois souvent). Où certains qui passent leur temps dessus au lieu de s’atteler à leurs tâches.

    Bref, tout ça pour dire que j’en ai vraiment besoin mais je viens de remplacer mon ptit samsung A53 par un Ultra de cette année…
    J’ai les éconocroques pour… et bon, s’il y a moyen d’améliorer encore le confort d’utilisation.
    Typiquement, ça peut être un outil pour se créer des souvenirs via les photo et vidéo. Autant, celles que j’ai pu faire sur mon A53 sont sympa mais, même si ça ne remplacera pas un R7 de chez canon, je sens que je peux avoir nettement mieux.
    Par contre, il y a un petit piège vu qu’il n’y a pas moyen de rajouter une petite carte SD… C’est le genre de truc que j’ai pas vérifié… ils veulent bourriner avec leur foutu cloud.

    Bref, on va voir à la longue.

  • 1 Votes
    1 Messages
    24 Vues

    Les modèles mondiaux (World models) visent à naviguer dans le monde physique en apprenant à partir de vidéos et de données robotiques.

    Résumé:

    Les grands acteurs de l’IA (Google DeepMind, Meta, Nvidia…) s’orientent vers les « modèles mondiaux », une nouvelle génération de systèmes capables de comprendre et simuler le monde physique, au-delà des simples modèles de langage (LLM) dont les progrès ralentissent.

    Ces modèles sont entraînés sur des données réelles ou simulées (vidéos, robots, cartes 3D) et visent des applications majeures en robotique, voitures autonomes, santé, fabrication, mais aussi dans le divertissement (jeux vidéo, cinéma).

    DeepMind a présenté Genie 3, qui génère des vidéos interactives image par image.

    Meta développe V-JEPA inspiré de l’apprentissage des enfants, tout en continuant d’investir dans ses modèles de langage Llama.

    Nvidia, via sa plateforme Omniverse, mise sur « l’IA physique » pour révolutionner la robotique, avec un potentiel estimé à 100 000 milliards de dollars.

    Start-up et partenaires (World Labs, Runway, Niantic) exploitent ces approches pour créer des environnements réalistes et collecter des données du monde réel.

    Ces modèles nécessitent toutefois des volumes colossaux de données et de calcul, et leur pleine maturité pourrait prendre une dizaine d’années. Mais les experts estiment qu’ils représentent une étape clé vers une intelligence artificielle de type humain et une valeur économique gigantesque.

    Source: https://arstechnica.com/ai/2025/09/big-ai-firms-pump-money-into-world-models-as-llm-advances-slow/

    Les procès pour violation de droits d’auteur ne sont peut-être pas non plus étrangers à ce changement d’approche. 🙂

  • 0 Votes
    1 Messages
    23 Vues

    En fin de semaine dernière, The Hollywood Reporter a publié un article sur un « hologramme IA de Stan Lee » qui serait présenté au Comic Con de Los Angeles ce week-end . Près de sept ans après la mort du célèbre créateur de Marvel Comics à l’âge de 95 ans , les fans pourront ce week-end, pour 15 à 20 dollars, discuter avec un avatar grandeur nature de Lee, piloté par IA, dans une cabine fermée du salon.

    13b57484-e20a-4c5e-9338-6a13f1cbe291-image.png

    La réaction immédiate de nombreux fans et médias à cette idée n’a pas été très chaleureuse, c’est le moins qu’on puisse dire. Un journaliste de TheGamer a qualifié l’idée elle-même de « démoniaque » et a déclaré qu’il fallait « l’anéantir par le feu avant qu’il ne soit trop tard » ( 🙂 ). L’AV Club a exhorté ses lecteurs à ne pas payer pour voir « le fantôme numérique angoissé d’un créateur de BD adoré, transformé en piège à imbéciles ! » Les réactions sur un fil de discussion Reddit populaire ont varié, allant de « incroyablement irrespectueux » et « de mauvais goût » à « macabre » et « tellement tordu », et rares étaient ceux qui étaient plus réceptifs au concept.

    Mais Chris DeMoulin, PDG de la société mère du LA Comic Con, a exhorté les critiques à venir voir l’hologramme assisté par l’IA avant de porter un jugement hâtif. « Nous n’avons pas peur que les gens le voient ni des critiques », a-t-il déclaré à Ars. « Je suis simplement partisan d’une critique éclairée, et je pense que la plupart des critiques publiées jusqu’à présent ne l’étaient pas vraiment. »

    « C’est dommage que quelques personnes aient des critiques très négatives à son sujet, sans même l’avoir vu, juste parce que c’est un concept », a poursuivi DeMoulin. « Ce n’est pas parfait. Je ne suis pas sûr qu’une chose pareille puisse l’être un jour. Mais je pense qu’il faut s’efforcer d’y intégrer suffisamment d’informations et de les tester suffisamment pour que l’expérience offerte aux fans soit authentique. »

    Source et beaucoup beaucoup plus: https://arstechnica.com/ai/2025/09/why-la-comic-con-thought-making-an-ai-powered-stan-lee-hologram-was-a-good-idea/

    Il fallait bien que ça arrive un jour, tout ce qui est possible d’être fait, quelqu’un le fera, et un autre fera même l’impossible plus tard. Mais ça aurais été tout de même moins risqué de commencer avec Trump, si l’I.A. commençai à divaguer, personne n’aurais vu la différence.

    Moi, j’aimerais parler (gratuitement) avec Dieu, j’ai des tas de chose à lui reprocher.

  • 2 Votes
    1 Messages
    30 Vues

    Après plusieurs enquêtes journalistiques mettant en cause l’utilisation d’Azure et de ses services d’IA par l’armée israélienne à Gaza, Microsoft a annoncé avoir coupé l’accès.

    Après de premières enquêtes plus tôt dans l’année, le journal The Guardian a publié en août une enquête explosive : l’armée israélienne a stocké et analysé plus de 200 millions d’heures d’enregistrements téléphoniques de la population à Gaza.

    L’annonce a été faite par Brad Smith, président de Microsoft sur le blog de la firme. Il y explique que Microsoft a pu vérifier les dires de The Guardian et en profite pour saluer le reportage.

    Bien que notre enquête soit toujours en cours, nous avons trouvé des preuves qui corroborent certains éléments du reportage du Guardian. Ces preuves comprennent des informations relatives à la consommation de capacité de stockage Azure par Israël aux Pays-Bas et à l’utilisation de services d’IA.

    Ces vérifications ont mis du temps, explique Microsoft, en raison de sa politique de confidentialité. La firme indique ainsi n’avoir pas accédé aux données pour vérifier les dires du Guardian, mais bien les propres documents de Microsoft.

    Le groupe dément quoi qu’il en soit en bloc sa participation, « nous ne fournissons pas de technologie facilitant la surveillance de masse des civils. Nous avons appliqué ce principe dans tous les pays du monde et nous l’avons réaffirmé à maintes reprises depuis plus de deux décennies. »

    L’enquête du journal britannique indiquait pourtant que Satya Nadella, le patron de Microsoft, avait bien rencontré des cadres de l’armée israélienne et jugeait le partenariat comme « essentielle », et pour Microsoft « fournir les ressources nécessaires pour le soutenir ».

    L’armée israélienne migrerait chez Amazon

    Aujourd’hui, The Guardian révèle que l’armée israélienne a en réalité déjà déplacé les quelque 8000 To de données stockées sur les serveurs de Microsoft en août.

    D’après les sources du journal britannique, les données auraient été migrées sur les serveurs d’Amazon Web Services. Amazon n’a pas souhaité confirmer ou infirmer l’information.

    Source: https://www.frandroid.com/marques/microsoft/2808783_nous-avons-trouve-des-preuves-microsoft-coupe-lacces-de-larmee-israelienne-a-ses-services

  • 1 Votes
    3 Messages
    93 Vues

    Il y a pas mal de perte de performance constatées apparemment. Si ça peut aider en attendant un correctif qui ne saurait tarder.

    https://korben.info/macos-tahoe-rame-fix.html

  • 6 Votes
    3 Messages
    58 Vues

    Achète de la RAM 🙂

  • 1 Votes
    1 Messages
    34 Vues

    ca3340d5-eb6d-4394-9135-8b0a0c598191-image.png
    Des étagères de boîtiers SIM, chacune remplie de nombreuses cartes SIM, bordent les murs

    e61ffaf2-9f0d-4960-ae2e-78d5be3fee9f-image.png

    Les services secrets américains ont annoncé ce matin avoir localisé et saisi une réserve d’appareils de télécommunications suffisamment importante pour « paralyser le réseau cellulaire de New York ». Ils estiment qu’un État-nation en est responsable.

    Selon l’agence, « plus de 300 serveurs SIM et 100 000 cartes SIM » ont été découverts à plusieurs endroits dans la région de New York. Des photos du matériel saisi montrent ce qui semble être des « boîtes SIM » hérissées d’antennes et remplies de cartes SIM, puis empilées sur des étagères à six niveaux. (Les boîtes SIM sont souvent utilisées pour la fraude .) Une photo montre même des piles de boîtes de cartes SIM soigneusement empilées, suggérant que l’assembleur du système a investi du temps précieux pour tout installer.

    L’équipement a été identifié dans le cadre d’une enquête des services secrets sur des « menaces téléphoniques anonymes » proférées contre plusieurs hauts fonctionnaires américains. Cependant, le dispositif semble conçu pour un objectif plus vaste que la simple diffusion de quelques menaces. Les services secrets estiment que le système aurait pu être capable d’effectuer des activités telles que « désactiver des antennes-relais, permettre des attaques par déni de service et faciliter des communications anonymes et chiffrées entre des acteurs malveillants potentiels et des organisations criminelles ».

    d0f7613a-4933-4e71-861a-56c60dda090e-image.png

    L’analyse des données provenant d’un si grand nombre d’appareils prendra du temps, mais les premières investigations suggèrent déjà l’implication d’acteurs malveillants étatiques ; autrement dit, il s’agirait probablement de matériel d’espionnage appartenant à un pays. L’Assemblée générale des Nations Unies se tenant cette semaine à New York, il est possible que le système ait été conçu pour espionner ou perturber les délégués, mais le matériel a été retrouvé à divers endroits, jusqu’à 56 km du siège de l’ONU. Selon la BBC , le matériel aurait été saisi dans des fermes de cartes SIM situées dans des immeubles d’habitation abandonnés sur plus de cinq sites, et son objectif final reste incertain.

    b8e6ebfc-cba5-4b98-b396-8c6abb523dc1-image.png
    D’autres pièces remplies d’autres appareils

    Bien que l’équipement ait été mis hors service, aucune arrestation n’a encore été effectuée et l’enquête se poursuit.

    Source: https://arstechnica.com/security/2025/09/us-uncovers-100000-sim-cards-that-could-have-shut-down-nyc-cell-network/

  • 1 Votes
    2 Messages
    39 Vues

    @duJambon a dit dans Les services de renseignement américains sont « inquiets » que la Chine maîtrise bientôt le lancement réutilisable :

    Les États-Unis craignent que ces développements n’offrent à la Chine de nouvelles capacités offensives ou de surveillance.

    Il est de notoriété publique que les Nord Mexicains n’attaquent jamais personne et ne surveillent également personne.

  • 2 Votes
    1 Messages
    26 Vues

    Résumé :

    Austin (Texas) est devenu un terrain d’essai majeur pour les voitures autonomes grâce à un cadre réglementaire souple et des conditions favorables. Tesla y a lancé ses premiers tests en juillet, mais les débuts ont été difficiles : trois accidents dès le premier jour (dont deux collisions arrière probablement non imputables à Tesla et un choc à faible vitesse causant une blessure). Un quatrième incident, sur un parking, n’a pas été officiellement déclaré.

    Comparée à Waymo, qui affiche 60 accidents pour plus de 96 millions de miles, Tesla présente un taux d’incident bien plus élevé (3 accidents pour seulement 7 000 miles). Contrairement à ses concurrents qui utilisent lidar et radar, Tesla mise uniquement sur des caméras.

    Enfin, alors qu’Elon Musk promet depuis longtemps un système « Full Self-Driving » (FSD) réellement autonome, Tesla reste loin du compte : une tentative amateur de traversée des États-Unis en FSD s’est soldée par un accident après seulement 96 km.

    Source: https://arstechnica.com/cars/2025/09/teslas-robotaxi-test-three-crashes-in-only-7000-miles/

    Ce n’est pas une statistique valable, peut-être juste de la malchance, mais ça commence mal pour Tesla.