Discussions générales

On parle de tout le reste

736 Sujets 9.2k Messages
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    Tiens, et je mettais sa tronche dans l’image de mon pseudo… 🙂

    À sa décharge, qu’est-ce qu’il a pu me faire rire celui-là aussi.

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    Bon, ça peut faire le jeu russe pour de l’intox mais… C’est tant mieux non ?
    Si ces militaires papotent en clair devant tout le monde, suffit d’écouter la chose et d’agir en conséquence.

  • Acheter chez Temu ? Attention aux effets secondaires

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    Petit extrait:

    Pas de contrôle de qualité

    Un lot de quatre culottes à 9,64 CHF, une mini-machine à karaoké avec deux haut-parleurs à 12 CHF ou une douzaine de crayons de couleur arc-en-ciel à 3,38 CHF, c’est à peu près le niveau de prix que Temu affiche. Une paire de chaussures pour hommes pour 10 €, une robe en velours pour femmes pour moins de 15 CHF… C’est tellement peu cher que ma collègue experte en mode Stéphanie a voulu tester la qualité des produits.

    Pour rester gentil, disons que c’est au petit bonheur la chance. Il est tout à fait possible d’atteindre une qualité suffisante à prix bas. Le hic, c’est que dans de nombreux cas, Temu livre des produits totalement différents de ceux qui apparaissent sur les photos. Au bureau, nous avons aussi testé des écouteurs qui ressemblent étrangement aux AirPods Max d’Apple.

    https://www.galaxus.ch/fr/page/acheter-chez-temu-attention-aux-effets-secondaires-36160

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    Un grand pouvoir implique de grandes responsabilités 😂

  • Mammouth ia

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    Je m’en sers pour de la correction de code. Ce que j’apprécie c’est de ne payer que si je consomme (moins cher qu’OpenAI du coup) via un compte que je recharge de temps en temps.

    Pour le prix, ça dépend de ce que tu vas utiliser : https://openrouter.ai/models?min_price=0.5&order=pricing-low-to-high

  • journée sans téléphone portable....

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    Retour sur la “journée sans téléphone portable” : c’est ce qu’on appelle un “flop”.

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    Plop !
    J’ai répondu non mais bon, c’est surtout que je ne téléphone que très très rarement.
    Sinon, c’est pas spécialement “insupportable” car 2-3 personnes qui discutent ensemble des tracas de la vie peuvent faire autant de bruit s’ils sont motivés.
    Ce qui est triste avec ces téléphones qui rendent intelligent, c’est le côté inattentif du monde autour.
    Quand une mamie rentre et ne trouve pas de place car ça matte la dernière vidéo de “insert influenceur here”… ça c’est insupportable !

  • Les dernières recommandations de L'ADEME !

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    @H-Barret

    Pareil que @BahBwah, mon frère habite carrément en plein centre ville touristique et c’est carrément la merde au sens propre comme au figuré lol.
    Je suis resté 2 semaines par ci par là et les gens ont l’air très aimable mais…y’a du caca de canidés partout (moi qui est habitué à ne plus voir ça dans notre contrée la Francia ^^…là où j’étais dans certains coins en Belgique, c’était bizarre comme situation lol).

  • faites gaffe à vos parties

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    @duJambon a dit dans faites gaffe à vos parties :

    Le téléphone à l’oreille, peut-il endommager le cerveau ?

    Pour bon nombre d’entre eux, c’est fait…:hahaha:

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    @duJambon a dit dans Nos cerveaux contiennent de plus en plus de microplastiques: “Jusqu’à 30 fois plus que dans d’autres organes” :

    Il semblerais que beaucoup de monde ne se soit pas contenté d’une cuillère à café, certains on en reçu à la louche.

    Ah ouais, j’avais pas pensé à Moumoutman ci-devant président du Mexique du Nord…:rofl:

  • L'hydrogène est en train de caler dans les transports

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    Les grandes ambitions de la filière hydrogène pour la mobilité se heurtent au mur de la réalité. L’écosystème prend du temps à émerger et souffre des doutes des acteurs du transport face aux progrès de l’électrique.

    L’hydrogène continue de chercher sa place dans les mobilités de demain. Passé les effets d’annonce, la filière poursuit sa lente structuration, mais aucun marché n’a encore véritablement décollé dans les transports. Véhicules particuliers et utilitaires, camions, bus, trains… Les industriels ajustent leurs prévisions et reportent leurs projets. Le marché a clairement marqué le pas en 2024 après des années de prises de commandes record.

    Sur fond de contraintes budgétaires, les subventions publiques ne pleuvent plus et les clients sont plus frileux à l’idée d’investir dans une nouvelle technologie plus onéreuse. «Les professionnels serrent les boulons. Ceux qui étaient enclins à un écart de prix ne l’acceptent plus», constate Nicolas Champetier, le dirigeant d’Hyvia, la filiale de Renault qui fabrique des camionnettes dotées de pile à combustible. Elle ne va réaliser que 10% de son chiffre d’affaires attendu en 2024.

    «La filière prend plus de temps que prévu à émerger», euphémise Christelle Werquin, la déléguée générale de France Hydrogène. Qui s’inquiète : «Tout n’a pas été mis sur la table par rapport à ce qui avait été promis avec la stratégie nationale hydrogène de 2020. On devait la réviser en 2022 et on attend toujours. En France, à force de ne pas décider, on va décrocher complètement.» Les industriels européens redoutent l’offensive de leurs concurrents asiatiques et américains, qui mettent les bouchées doubles. «On est en train de se faire bouffer, alors qu’on était les premiers !», tonne l’un d’entre eux en coulisses.

    Des débouchés limités dans les transports

    S’ils sont nombreux à dénoncer l’attitude des autorités publiques - «Des mous du genou», s’emporte un dirigeant -, il y a une autre raison qui explique l’essor poussif de l’hydrogène : en Europe, la pertinence de cette molécule selon les usages reste à démontrer dans la durée. «L’hydrogène a été fortement mis en avant dans les discours, il y a eu un effet de mode. Or son potentiel est moins important qu’annoncé, il n’est pas nul, mais il ne va pas avoir un rôle très significatif sur le transport terrestre», analyse le chercheur Aurélien Bigo. Ce qui n’empêche pas des entreprises aux intérêts divergents de multiplier les projets.

    LA MOBILITÉ HYDROGÈNE EN FRANCE
    58 bus
    12 trains régionaux (en production)
    1000 taxis
    300 vélos
    6 camions
    (SOURCES : L’USINE NOUVELLE, FRANCE HYDROGÈNE)

    Des constructeurs automobiles comme Toyota et BMW souhaitent commercialiser des SUV hydrogène dès 2027. Hormis pour les taxis à usage intensif, ce segment n’est pourtant pas porteur aux yeux de nombreux experts. Pour la majorité des acteurs de la filière, la molécule de dihydrogène, moins efficace sur le plan énergétique que l’utilisation directe d’électricité dans une pile, doit rester réservée aux usages dits «complémentaires». «L’hydrogène est utile sur les besoins que ne couvre pas l’électrique à batteries : les lignes de bus à haut niveau de service (BHNS), les autocars, les petites lignes ferroviaires où l’électrification coûte trop cher, les locomotives dans les zones portuaires», liste Christelle Werquin. La motorisation hydrogène est également envisagée pour les véhicules hors route, sur les plateformes logistiques ou dans des mines. Bref, une myriade de débouchés possibles. Mais les freins comme les inconnues restent nombreux. «La filière est en proie au doute», constate Loïc Bonifacio, un consultant indépendant.

    L’hydrogène continue de chercher sa place dans les mobilités de demain. Passé les effets d’annonce, la filière poursuit sa lente structuration, mais aucun marché n’a encore véritablement décollé dans les transports. Véhicules particuliers et utilitaires, camions, bus, trains… Les industriels ajustent leurs prévisions et reportent leurs projets. Le marché a clairement marqué le pas en 2024 après des années de prises de commandes record.

    Sur fond de contraintes budgétaires, les subventions publiques ne pleuvent plus et les clients sont plus frileux à l’idée d’investir dans une nouvelle technologie plus onéreuse. «Les professionnels serrent les boulons. Ceux qui étaient enclins à un écart de prix ne l’acceptent plus», constate Nicolas Champetier, le dirigeant d’Hyvia, la filiale de Renault qui fabrique des camionnettes dotées de pile à combustible. Elle ne va réaliser que 10% de son chiffre d’affaires attendu en 2024.

    Attaqué par les progrès de l’électrique

    L’évolution de la technologie et sa raison d’être sur le long terme face à la batterie restent en effet incertaines. En cause, «les progrès sur la batterie et ses baisses de coût de production», pointe Loïc Bonifacio, rappelant que les poids lourds électriques deviennent une réalité alors qu’«il y a cinq ans, on pensait que ce marché n’existerait pas».

    Même cas de figure dans le ferroviaire. Alstom essuie les plâtres de ses 41 trains mis en service en Allemagne. En Basse-Saxe, première ligne à utiliser cette technologie, les pannes techniques des piles à combustible et les périodes d’immobilisation importantes liées à un manque d’approvisionnement en hydrogène se multiplient. Face aux difficultés, le Land envisage de se tourner à l’avenir vers les trains à batteries.

    En France, les 12 rames bimode électrique-hydrogène commandées par les régions se font attendre. «On ne sait pas quelle technologie va réellement se développer à terme», constate Frédéric Evequoz, le directeur commercial des produits sur mesure chez Stadler. Le fabricant suisse, qui doit livrer 17 trains pour la Calabre et la Sardaigne en 2026, ne se ferme aucune porte. Comme l’ensemble de l’industrie qui avance à tâtons.

    Les équipementiers en première ligne

    Le marché est à la peine, mais ils sont prêts. Eux, ce sont les équipementiers. En France, des sous-traitants de la filière automobile ont décidé, il y a plusieurs années, de miser gros sur l’hydrogène. Au premier rang desquels Forvia et OPmobility (ex-Plastic Omnium), qui parient sur l’essor des réservoirs à hydrogène. Mais également le géant du pneu Michelin, qui détient (comme Forvia) 33,3% du capital de Symbio, jeune pousse française dont l’ambition est de devenir le leader européen de la pile à combustible. Ce ne sont pas les seuls : l’allemand Bosch, l’américain Cummins, le suisse Garrett Motion… Tous ces groupes en quête de diversification cherchent leur prochain relais de croissance, celui qui leur permettra de grandir malgré la lente mise en sommeil de leurs compétences dans le moteur thermique. «Ils y vont tous parce qu’ils se rendent compte que la batterie, en tout cas aujourd’hui, ne permet pas de répondre à tous les besoins», explique un dirigeant du CAC 40. Les précommandes record se sont succédé ces dernières années, mais les concrétisations se font attendre, en Europe comme aux États-Unis. «Ceux qui étaient prévus pour 2025 sont reportés à 2026, voire 2027», décrypte un analyste financier parisien.

    Source: https://www.usinenouvelle.com/article/marche-balbutiant-incertitudes-surcouts-l-hydrogene-est-en-train-de-caler-dans-les-transports.N2225008

  • Périphérique Parisien : voie réservée aux covoiturage.

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    j’su tellement heureux d’être content d’en être parti !!!

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    @duJambon a dit dans « Top Chef » : La prochaine saison pourra permettre de décrocher une étoile Michelin :

    C’est quoi la TV ?

    Dans ce cas, c’est un ensemble de sociétés qui dépensent des sommes folles pour abrutir le spectateur et le coincer devant les annonces de leurs clients.

  • Traçage protonmail

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    @Violence a dit dans Traçage protonmail :

    @Raccoon a dit dans Traçage protonmail :

    Je teste encore l’envoi SMTP via telnet sur le port 25

    ??? Le smtp non sécurisé est à bannir.
    Perso ce port est bloqué par défaut sur nos réseaux.

    J’ai peut être mal compris.

    Tu as bien compris mais seule l’IP publique du client est autorisée à utiliser son Exchange Online comme relai.
    Il y a encore beaucoup de copieurs qui ne sont pas compatibles oauth2 et quand les gens veulent du scan to mail il n’y a pas d’autres choix.

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    @El-Bbz a dit dans Stations de ski : 65% des logements bientôt interdits à la location ? :

    Non, je crois pas, ça date ce système. Ca n’a plus aucune valeur depuis 2021.

    Tout à fait.

    🔹 Principes de la méthode 3CL
    La méthode 3CL repose sur trois grandes étapes :

    1️⃣ Modélisation du logement 2️⃣ Calcul des consommations conventionnelles 3️⃣ Évaluation de l’efficacité énergétique et des émissions de CO₂

    1️⃣ Modélisation du logement

    La première étape consiste à décrire le logement en entrant de nombreux paramètres dans le logiciel de calcul :

    🏠 Structure du bâtiment

    Type de logement (maison individuelle, appartement…) Année de construction (détermine les normes d’isolation de l’époque) Surface habitable Orientation et localisation géographique Type de murs, de toiture, de plancher (matériaux et isolation) Type de fenêtres (simple/double vitrage, matériaux des cadres, etc.)

    🔥 Systèmes énergétiques

    Type de chauffage (électrique, gaz, fioul, bois…) Rendement du système de chauffage Régulation du chauffage (thermostat, programmateur…) Production d’eau chaude sanitaire (chaudière, chauffe-eau électrique, solaire…) Présence d’une ventilation mécanique (simple flux, double flux) Présence d’un système de refroidissement (climatisation)

    2️⃣ Calcul des consommations conventionnelles

    Une fois le logement modélisé, le logiciel applique des scénarios de consommation standardisés pour estimer la consommation énergétique annuelle :

    🔹 Température intérieure conventionnelle :

    19°C dans les pièces de vie 17°C dans les chambres la nuit

    🔹 Durée d’occupation standard :

    16 heures par jour pour les maisons individuelles 8 heures en semaine et 16h le week-end pour les appartements

    🔹 Conditions météo moyennes en fonction de la zone climatique (France est divisée en 8 zones).

    🔹 Calcul des déperditions thermiques :

    Le logiciel simule la perte de chaleur par les murs, fenêtres, planchers et toiture.
    Il estime la quantité d’énergie nécessaire pour compenser ces pertes et maintenir la température cible.

    🔹 Prise en compte des apports énergétiques :

    Apports solaires (en fonction de l’orientation du logement et de la surface vitrée). Apports internes (chaleur dégagée par les occupants, les appareils électriques, etc.).

    3️⃣ Attribution des étiquettes énergie et climat

    Le logiciel convertit ensuite la consommation d’énergie en kWh/m²/an et les émissions de CO₂ en kg/m²/an, ce qui permet de classer le logement selon deux étiquettes :

    🏷 Étiquette énergie → Basée sur la consommation d’énergie primaire (électricité, gaz, fioul, bois).
    🏷 Étiquette climat → Basée sur les émissions de CO₂.

    La note finale du DPE correspond à la plus mauvaise des deux notes.

    Exemple :

    Si un logement est C en consommation mais F en CO₂, le DPE final sera F.

    🔹 Améliorations et limites de la méthode 3CL

    Améliorations depuis 2021

    Prise en compte de nouveaux paramètres (ex. : ventilation, équipements de refroidissement).

    Suppression de la méthode sur factures (plus de prise en compte des habitudes des occupants).

    Correction des anomalies pour les petits logements (réduction des biais).

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    Les internes en médecine générale sont en grève du mercredi 29 au vendredi 31 janvier inclus, pour protester contre la réforme leur imposant une année supplémentaire de formation. Ils demandent son report. Un futur médecin franc-comtois nous explique.

    Les internes en médecine générale ont l’intention de donner de la voix à Paris, ce 29 janvier. Ils s’opposent à la réforme de la quatrième année d’internat aussi appelée “année Docteur junior”, actée fin 2022, à l’occasion de la loi de finance de la Sécurité sociale 2023. Jusqu’à présent formés en neuf ans (dont trois ans d’internat), les jeunes généralistes doivent désormais effectuer une année supplémentaire, essentiellement réalisée en stage ambulatoire, c’est-à-dire au sein d’un cabinet libéral ou d’une maison de santé pluriprofessionnelle. Les futurs médecins généralistes dénoncent un manque cruel d’organisation concernant la mise en application de cette mesure et souhaitent son report.

    "La 4e année d’internat avait pour but d’encadrer les internes dans des cabinets en ville pour y apprendre la gestion du cabinet et de la patientèle, pour être plus enclins à s’installer dans un territoire ", a rappelé à l’AFP Bastien Bailleul, président de l’Isnar-IMG. Mais “devant l’insuffisance de préparation, nous n’aurons pas assez de maîtres de stage pour nous accueillir”, déplore-t-il. Les premiers internes concernés par la réforme ont débuté leur internat en novembre 2023 et sont amenés à effectuer une quatrième année entre novembre 2026 et novembre 2027.

    4 000 futurs médecins généralistes à accueillir

    Ce constat est partagé par un étudiant concerné, originaire de Franche-Comté. Ce dernier a préféré témoigner anonymement par peur des représailles au sein de sa faculté. Il rappelle que ce texte a été voté par le recours à l’article 49.3 et que les décrets d’application n’ont pas encore été communiqués. Antoine* pointe du doigt plusieurs obstacles à la mise en application de cette loi. “__Ce qui nous embête c’est que ça fait deux ans qu’on attend que les décrets soient communiqués pour nous éclairer sur cette quatrième année, mais rien n’a été fait depuis. Nos maîtres de stage sont un peu perdus aussi. Le recrutement des maîtres de stage universitaires a pris beaucoup de retard”, nous explique-t-il.

    Photo d'illustration d'un cabinet de médecin généraliste.
    Photo d’illustration d’un cabinet de médecin généraliste. • © SEBASTIEN TOUBON / MAXPPP

    Il alerte sur le manque de cabinets en capacité d’accueillir environ 4 000 futurs médecins généralistes en France. “Il n’y a pas assez de maîtres de stage universitaires. On le savait avant la réforme, on avait demandé du temps. On est dans une désorganisation totale. On demande à participer à l’harmonisation de cette réforme afin qu’on soit sûr qu’il y ait assez de maîtres de stage pour tout le monde”, insiste-t-il. Pour les futurs généralistes, il s’agit de trouver un cabinet pour effectuer un an de stage avec des prérequis particulièrement restrictifs, selon les concernés. Par exemple : la nécessité d’avoir des locaux adaptés pour accueillir de manière autonome le futur généraliste dans un bureau séparé, à proximité du médecin sénior.

    Le futur généraliste en milieu rural cite des chiffres récemment publiés par l’intersyndicale. Moins de 50 % des médecins généralistes français seraient en capacité d’accueillir des “docteurs juniors”. Autre affront pour les généralistes : la nomination à la tête du comité de suivi pour la mise en place de la réforme d’un oncologue cardiologue. “Cela renforce encore plus notre incompréhension”, abonde-t-il.

    Il dénonce aussi l’impossibilité de choisir le secteur géographique d’exercice. Ce dernier, qui possède déjà un projet d’installation au sein d’une communauté de communes de la région, devrait être obligé de réaliser sa dernière année d’étude dans un autre territoire. “Je ne pourrai donc pas commencer à créer un lien avec ma patientèle alors que c’est soi-disant le but de la dernière année”, se désole-t-il.

    Des futurs généralistes dirigés vers les hôpitaux publics ?

    Ce que craignent également les étudiants, c’est de devoir effectuer une année de plus au sein d’un hôpital public, faute de places disponibles en cabinets libéraux sur le territoire français. " Ils nous disent de ne pas nous inquiéter, que si ce n’est pas possible en cabinet on ira en l’hôpital. Mais on a déjà fait 10 ans d’études pour être généraliste, ce n’est pas pour pallier le manque de médecins dans les hôpitaux", dénonce Antoine*, craignant un détournement de la fonction du médecin généraliste.

    Dans un secteur déjà fragilisé, alors que les effectifs d’internes en médecine générale ont baissé de 16 % et que les pénuries de généralistes se multiplient sur le territoire, les professionnels craignent que cette mesure accentue le désintérêt des étudiants pour la filière généraliste.

    Ce mercredi, une délégation d’étudiants doit être reçue aux environs de 16h en commission parlementaire, devant l’Assemblée nationale. Des bus au départ des grandes facultés de médecine ont prévu de rejoindre Paris pour gonfler les rangs de la manifestation. " Il y a des bus affrétés depuis toutes les facultés de France : Lille, Marseille, Lyon, Dijon… Au sein des hôpitaux, il y a aussi des covoiturages organisés depuis Besançon, Auxerre, Belfort", conclut Antoine* qui espère que le gouvernement entendra les revendications étudiantes et reverra sa copie.

    *Le prénom a été modifié pour garantir l’anonymat.

    Source : france3-regions.francetvinfo.fr

  • La chiralité dans le quotidien

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    Patrick Fiori en parle aussi dans son dernier “tube” “Le chant est libre”… Ou quelque chose comme ça.

  • Pourquoi les jeunes ne répondent plus au téléphone ?

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    @duBoudin a dit dans Pourquoi les jeunes ne répondent plus au téléphone ? :

    Modération: Le style SMS est interdit par le règlement, 3 jours de ban, et paf ! :)
    Merci de me téléphonner pour fixer la date.

    Je prend acte de cette information et assume ma faute. Je laisse soin à la modération de fixer la date.

    Je me permets, toutefois, de demander grâce
    A vot’ bon coeur de cochon !

  • Le virement instantané devient gratuit partout

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    C’est clair, il était temps que la gratuité soit généralisée (en étant imposée donc…) même si certaines le proposait déjà gratuitement.